Mini-Anthologie cas
Par Raze • 28 Septembre 2017 • 1 379 Mots (6 Pages) • 655 Vues
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« L’éclair » a une notion d’éblouissement, de forte lumière aveuglante
« Violent » renforce la puissance, la force de l’éclair
« Divine » divinisation de la femme à qui l’homme s’adresse
« N’étant qu’homme mortel » montre ici qu’il n’est rien de plus que les autres mortels.
«Céleste » accentue la beauté de la femme en la rendant rare, difficile d’atteinte
« Me fit gouter la mort, la mort et la ruine » est ce qu’il a dû subir pour pouvoir atteindre cette femme
« Pour de nouveau venir à l’immortalité » l’auteur est passé par la mort pour renaître de nouveau, en étant immortel
Deuxième quatrain :
Ce qu’il pense de la femme, comme un message qu’il lui adresse
« Feu » apporte ici une notion de chaleur ardente, de passion
« Divin » donne une particularité divine à ce feu, il n’est pas comme les autres feux
« Brûla » ce que le feu lui fait, renforce la notion de passion, d’ardeur
« Mon essence » est une figure de style, une synecdoque, plus précisément, pour représenter tout son être, son existence, son humanité
« Céleste » renvoi encore à la notion de cieux, de divinité
« M’éprit et me ravit aux cieux » La femme s’est emparée de lui, en prend possession pour le rendre divin comme elle et l’amené là où elle vit, dans les Cieux parmi les autres dieux. « Cieux » est vu comme le lieu de résidence des dieux. « M’éprit » accentue la possession que la femme exerce sur l’homme. « Me ravit » renvoi à un acte de renaissance, de passer par la mort pour revenir immortel. « Ton âme était divine et la mienne fut telle »
- Troisième quatrain :
Contact direct avec la femme
- Quatrième quatrain :
Comparaison entre lui et les dieux
- Cinquième quatrain :
Il démontre qu’un dieu n’est pas parfait et fait des « bêtises » pour l’amour
- Sixième quatrain :
Les hommes ne sont pas mieux que les dieux => comparaison des dieux >
Présentation de l’auteur du poème baroque
Didier Venturini
Analyse du poème « La maison des ombres », Didier Venturini
Il est des ronces et du silence
Où se fatiguent moellons et tuiles
De cette maison qui prend patience
Sur son lopin comme en exil
Elle s’abandonne sans aucun cri
A cette lente progression du temps
Et seul le vent peut suivre ici
Ses lézardes et rides de ciment
Elle se repose sur cette colline
Où l’air vient lui brunir les flancs
Dans ses mousses passent encore des rythmes
Des soupirs des frisson’ments
Elle se laisse porter immobile
Par la voix lugubre des orages
Et les chênes lui font comme une île
Sur les traits sombres de son visage
Il est dans les oracles du soir
Sous la multitude des jours
Dans ces douloureuses langueurs noires
Un long rappel des doux séjours
Le chant de sa jeunesse passée
Quand l’homme frôlait le grain des murs
S’ajoute aux cimes des peupliers
Dans le solitude de l’azur
La vie s’est chargée de désert
Puis entrainée loin des paroles
Elle s’est défaite de ses repères
Comme une peau morte qui se désole
Alors qu’a-t-elle donc d’éternel
Peut-être ces pierres mêlées au lierre
Ou ces cailloux cornés de gel
Ou bien le spectre de ces lisières.
La forme du poème : Le poème est écrit en huit strophes quatrains, toutes les strophes sont hétérométriques (vers ayant différentes longueurs de syllabes). Les rimes sont en ABAB.
Champs lexicaux : -> La nature
->L’écoulement du temps
-> Le calme/ La tranquillité/ Le silence
-> Les ténèbres/la mort/ l’obscurité
Présentation de l’auteur de la chanson sélectionnée
Analyse d’une chanson : « Nantes », Barbara
Il pleut sur Nantes
Donne-moi la main
Le ciel de Nantes
Rends mon cur chagrin
Un matin comme celui-là
Il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard
Lorsque je sortis
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