Lecture analytique figaro

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: le comte a des vues sur Suzanne il est présenté comme « las de courtiser les beautés des environs »

Le comte donne une dot à Suzanne « cette dot qu’on me donne était pour les beaux yeux de ton mérite ? » figaro la considère comme n cadeau j’avais assez fait pour l’espérer » mais Suzanne lui fait comprendre que le comte veut acheter ses faveurs, c’est donc un obstacle au bonheur.

Les personnages ont évolué, almariva n’est plus autant amoureux de Rosine il a besoin de conquêtes, meurtrie par la vie, un mariage se fait, le sien se défait (caractère mélancolique de la pièce). Elle se rangera du côté des valets.

Beaumarchais met en valeur la puissance tyrannique d’un seigneur féodal qui a envie de rétablir « un droit honteux » ce qui entraine la révolte des valets, surtout Suzanne. Il soulevé également le problème de l’asservissement des femmes.

Axe 3

Figaro parait très épris de Suzanne. Ses gestes le prouve « lui prend les mains » ses paroles également « ma charment » cet amour s’exprime à travers la gaité et la joie de vivre, mais Suzanne mené le jeu en reprenant par exemple les propos de figaro « zeste en deux pas » et « crac en trois sous » pour retourner la situation au profit du comte. De plus, elle laisse sa phrase inachevée comme l’indiquent les points de suspension pour semer le doute dans l’esprit de figaro. Ce qui contribue grandement au comique de scène. Ce comique est renforcé par la souplesse de figaro qui fait penser à arlequin dans la commedia dell’arte, en effet au début il mesure la pièce, à la fin il court après Suzanne.

III-conclusion en conclusion cette scène d’exposition nous donne les renseignements nécessaires pour comprendre cette pièce en posant les grands thèmes et en donnant la tonalité d’une pièce ou tout est gai malgré tout. De plus, Beaumarchais met en scène des valets qui ont de l’esprit ce qui est révolutionnaire pour l’époque