La satire - Orale - Tartuffe ou l'imposeur
Par Christopher • 29 Mars 2018 • 951 Mots (4 Pages) • 589 Vues
...
De là vient la tonalité satirique de la fausse piété de Tartuffe. On l’entend à travers le champs lexical du passage et pour quel fin il l’emploi. En effet, dans le premier vers, Tartuffe s’annonce comme un dévot, mais aussi un homme avec ces défauts. Il réalise qu’un tel discours de séduction paraît étrange pour un homme de son statut. En contre-partie, il ne s’arrête pas car il utilise son dévotion pour proclamer que le célestes appas d’Elmire ai une relation direct entre sa piété de dieu et la raison pour laquelle il la séduise. En effet, même si cela va contre tout la moral de sa religion, il le fait comme même parce ce que c’est le produit obtenu qui prend le dessus de comment il l’a obtenu. Cette ici qu’Orgon “voit” le faux dévot et c’est ici que Molière utilise la tonalité satirique pour dénoncer les faux dévots.
Il faut néanmoins signaler que Molière ne fais pas juste la satire de la faux dévotion pour acquérir quelque chose, mais l’aveuglement des autres qu’il le fait possible. Ceci ne se lie pas directement au passage, mais qui est sous-entendu à haute voix. C’est aveuglement d’Orgon pour Tartuffe qui mène la possibilité de séduire Elmire.
Le contraste
On constate cette aveuglement à travers un contraste d’opinion entre Orgon et sa mère, et le reste de la maison. En effet, dès le début, la famille d’Orgon comprend très vite qui est le vrai Tartuffe (Acte I scene i pg 45 vers 41 (Damis), 49 (Dorine), et finalement 61 (Cléante))
L’aveuglement avant la fameuse scène
- confrontation Dorine vs Orgon - mariage (Acte II scene ii pg 67 vers 471-475)
- confrontation Cléante vs Orgon - Tartuffe (Acte I scene v pg 58 vers 346-350)
- confrontation Mme Pernelle (qui support l’avis d’Orgon et l’honnête Tartuffe) vs Damis, Dorine, Cléante (Acte I, scène i, pg 49 vers 141-) + Acte I scène i pg 46 vers 52-54
De tant plus!
L’aveuglement après la fameuse scène
Acte III scène vi pg 102 vers 1073, Orgon, en choque n’y croit pas ses yeux et Tartuffe, vis-à-vis le drame, convainque Orgon que c’est pas de sa faute même s’il est, et l’aveuglement d’Orgon fait en sort que Tartuffe puisse continuer à prétendre être pieux et peut continuer, quand il veut de séduire sa femme.
Il ne faut pas oublier de mentionner que c’est Damis qui voulait condamner Tartuffe après la fameuse scène, pour montrer à son père, Orgon, le vrai Tartuffe. Par conséquent, sous prétexte du drame qu’à fait Tartuffe, Orgon rejet son fils, et le chausse de la maison (Acte III, scène vii, pg 106 vers 1134-1140). En même temps, il lui donne tout ses possessions.
En conclusion, en se basant sur l’extrait original de Tartuffe et Elmire, Tartuffe sait que ces actes ne correspond pas avec l’image qu’il voulait donner, “Je sais qu’un tel discours de moi paraît étrange” il l’avoue lui même, mais ça le n’empêche pas de toute façon de courir après Elmire, la femme d’Orgon. Car, pour se défendre c’est presque un voeu de Dieu, “Pour être dévot…on vient à voir vos célestes appas… (et mon) coeur se laisse prendre, et ne raisonne pas.” Rapture entre mots employé et son intention.
...