La princesse de Clèves, madame de La Fayette

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Bien que le rapprochement des deux êtres ne dépende pas des deux amants, leur réunion charnelle dans la danse évoque la sensualité. Il n'y a aucun échange verbal. Seuls la danse et les regards les lient. L'amour entre les deux protagonistes est montré comme inévitable. Dès qu'ils se voient le coup de foudre est immédiat.

En ce qui concerne la structure de texte, elle est divisée par quatre paragraphes, les deux premiers avec un schéma narratif et les deux suivants, sont des dialogues entre différents personnages. La première partie décrit le bal royal qui se situe au Louvre, mais il déjà nous indique que la Princesse avait déjà entendu parler du Duc. La seconde partie nous explique comme les regards entre les amoureux apparaissent, et comme le bal entre eux provoque une agitation entre la cour, et la dernière partie où nous pouvons lire une conversation entre la dauphine et le Duc en train de parle de Mme de Clèves.

Du point de vue linguistique, nous pouvons remarquer les champs lexicaux qui notamment prédomine, c’est, d’abord, le lexique lié à la séduction entre les deux futurs amants avec des exemples comme « beauté, parure, cherchait des yeux, vit, surprise, étonnement, admiration, parfaite… ». D’autre part, ensuite, nous pouvons observer un autre champ lexique qui est très présent dans tout le récit, le lexique attaché au bal royal et à la cour : « prince, cour, dauphine, le jour des fiançailles, bal, festin royal, Louvre, danser, révérence, salle… ». Ainsi avec ce vocabulaire idyllique et précieux, on peut constater que l'enjeu principal de ce texte réside dans la coïncidence entre les deux personnages. Avec l’objectif d’adresser l’histoire à tout le public, le texte est doté d’un niveau de langue courant.

Le texte écrit en prose, c’est un relate historique inséparable de la réalité, et assez objectif, donc, nous ne trouvons aucune figure de style puisque c'est plutôt un discours descriptif et réel.

En conclusion, La Princesse des Clèves c’est un roman innovateur car Madame de La Fayette introduit la psychologie dans le récit, c’est une rupture avec les romans de l’époque. L’histoire raconte l’impossibilité d’un amour entre une femme mariée et un homme de la cour. À mon avis, c’est un livre très courageux car à l’époque l’infidélité et la jalousie n’étaient pas des sujets très habituels, en plus, la thématique amoureuse avec des obstacles me rappelle à d’autres romans, comme Tristan et Iseut, mais, dans ce roman, la psychologie et les sujets si braves font de l’histoire, un récit très attirant et intéressant.