La princesse de Clèves, Madame de la Fayette.

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Situation paradoxale:situation rare. Fait un aveu, mais pas d'acte, situation unique : revendique son innocence et son honnêteté. Classicisme : raison qui doit diriger. Elle essaye de ne pas céder à la passion. Elle est fragile car jeune, à perdu sa mère son guide. La cour : lieu de tentation, dangereux pour les réputations, si sa se savait elle perdrait sa réputation, l'estime prend la part de la sincérité

⇒ peut la punir. Elle à des chances de conserver sa dignité. Se comporte de manière exemplaire. Très chaleureuse.

Chiasme : Ligne 10-11.

Sentiment qui vous déplaisent, je ne vous déplairai jamais par les actions. Double énonciation.

« Songer » , «Conduisez » ⇒ impératif ⇒ autorité. Discours construit.

L.12 : Se met en valeur, honorable, amitié pour un mari.

L.14-17 : une coupure, un passage narratif, montre son désarroi. Qualité de discours → Structuré.

Il à perdu la maîtrise de lui même. Elle est donc toujours en position de suppléante ⇒ ne pas songer à la relevé.

L.16 : Trois éléments qui le touchent, retrouve sa maîtrise, l'embrasse, la relève et parle.

L.18-20 : C'est elle qui doit lui pardonner, il se reproche de ne pas être à la hauteur. Écho : « ayez pitié de moi » ⇒ ils sont égaux. Utilise l'impératif de prière/

Affliction ⇒ montre les sentiments très forts.

L.20 : estime le courage de sa femme → elle n'est pas comme les autres. Il est le plus malheureux : amoureux et elle non. Rupture entre les deux. Elle éprouve de la reconnaissance et de la fidélité mais pas d'amour → Jalousie. Hypothèse : elle est incapable d'aimer.

L.27 : amant : quelqu'un qui aime et qui est aimé. 2 types de jalousie : celle du marie, et celle de l'amant. Il garde la jalousie de l'amant, ne le rend pas public. Rassurer sur le fait qu'elle ne le trompera pas, analyse du personnage du mari, de ses émotions, son incapacité à l'amour.

18ème siècle : le libertinage.

Dernière phrase : antithèse,paradoxe.

⇒ permet au personnage de se livre.

Plan :

Problématique:

Comment madame de la Fayette donne t-elle à cette scène d'aveu une grandeur tragique ?

I : Une scène d'aveu originale.

1) Une démarche inhabituelle.

Parole d'une femme.

2) Initiative si « extraordinaire »

3) Un aveu paradoxale.

II) une scène romanesque qui ressemble à une tragédie.

1) la grandeur des personnage.

2) Le pathétique.

3) Aspect théâtral.

Attention ne pas oublier le thème, le registre, la situation d'énonciation, le temps, les personnages, le narrateur, le point de vue, figures de style,champs lexicaux, type de phrase, ponctuation.