L'albatros Charles Baudelaire

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de divin et est onirique (c’est à dire de rêve). La poésie étant un don, sacré divin (les anges peuvent voler), Baudelaire attribut des ailes au poète, donc une valeur angélique, l’image du poète est ici valorisé. Les marins représente le diable par la torture qu’ils exercent sur l’albatros.

La narration du poème est à la troisième personnne. Baudelaire se partage dans ce poème entre le spleen et l’idéal. En parlant de lui à la troisème personne (autoportrait poétique), il se met à distance de lui même, il parle de lui à travers l’albatros.

Le personnage principal: Albatros est personnifié. Le personnage ets double, d’une part majestueux de l’autre laid, déchiré entre le bien et le mal. (-> Image antithétique.)

QUAND?:

Description d’un albatros en impossibilité d’action. Il ne peut agir, subit son destin; fragile qui a perdu. Les verbes d’actions sont attribués aux marins: personnages malfaisants. Ces actions sont des actes de tortures. Le mode indicatif souligne ce que le poète indique. Ce poème évoque la misère du poète.

QUI?:

Le personnage principal est l’albatros. Les autres personnages sont les marins qui représentent les hommes mauvais envers les poètes: la société.

COMMENT?:

Ce poème ressemble à une fable (: Récit bref dont on tire une leçon ou une morale), une annecdote. Présent: énnonciation/ vérité/ narration. Défintion poétique. Il s’agit d’un poème de 16 vers alexandrins répartis en 4 strophes avec des rimes croisées.

POURQUOI?:

Baudelaire nous donne dans ce poème sa définition à lui du poète, sous forme poétique en introduction de son poème AUTOPORTRAIT.

La ponctuation est riche (de virgule-> pauses respiratoires, et paradoxales où les phrases sont longues et tirées); enjambement (=phrase qui continue à la fin du vers). Ponctuation forte aussi au niveau des points, points virgules: casse la phrase (--> oiseau cassé, déchiré, brisé). Ne cesse de monter vers l’idéal et de descendre vers le Spleen.