Les activités éco en Amérique Latine, entre émergences et dépendances
Par Andrea • 21 Mai 2018 • 2 127 Mots (9 Pages) • 509 Vues
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Fernando Lugo avait d’enter de faire avancer la situation, destitué 2012.
-L’Am latine compte des palmarés agricoles :
10% des exportations mondial. 77% des bananes, 52% du café et 46% du sucre. Les techniques se modernisent avec l’extension des productions OGM. Certains pays apparaît comme des géants agricoles. Brésil= ferme du monde, Argentine, Mexique, Chili. B, A, C -> balance commerciale positive.
Le soja un modèle critiqué :
L’augmentat° des surfaces planté en Soja depuis le début des années 90. Selon la FAO, La surface cultivé de moins 5MM d’hectares à 18MM. Brésil de 11MM à 23MM selon un rapport de 2013. On produit ce soja, selon un procédé tortu de soja. Le bétail au lieu de pètre dans l’arbre est élévé dans des Feedlots. L’Am latine exporte son soja sous forme de turto, bio-éthanol.
A partir du Sud Est, le soja s’est étendu vers le Nord, on une avancée du front de Soja. Un front de Soja, près de la pampa de rosario en direction du Nord. Des voies ferrés et des routes qui sont chargé d’exportés ce soja. Tt autour de Rosario, complexe de Soja s’est développé avec des géant de grains : Vincetin, Dreyffus et Grunge. Ces usines produisent des tortours que l’on va chargé sur des navires. 400km de l’océan atlantique. Cette production est permise par Mosanto. On plante du Soja OGM traité au Soja Roundup. On sous traite cette récolte à des epts spécialisées. Cela se traduit par des drames en terme humain, les engrais à forte dose entraine des pollutions. Une pollution à l’origine de l’augmentation du nombre de cancers. Elle incarne ce qu’est l’agribusiness. Gustavo Grobo Patal est le Bil Gates du Soja, a batit un empire de Soja entre le Paraguay, Brésil, Argentine. Tout lui monde confit des hectares à cultiver. C’est l’incarnat° du sucess story. Concept très orignal : loue des terres puis sous-traite tout sasiumth. Il cutivle 150 000hectares en Am Sud mais en possède seulement 1/10.
12) Les trajectoires industrielles diverses
on peut établir 3 gdes périodes dans l’histoire de l’Am latine. Le modèle agro-exportateur : modèle essentiellement coloniale qui va prévaloir jusqu’en 1950. On passe au modèle par substitution, le but est par une politque volontariste de produire ce que l’on importait dans le pays en remontant les fillières. C’est à dire qu’il y a 5 temps pr une remonté totale : indus qui coute pas cher (indus légère)= textile, seconde étape : diversification : industrie d’équipement, développe industrie intermédaire= cimentrie sidérurgie= industrie capitallistique ie rentabilité à plus long terme, industrie de bien de consommation durable-> phase qui s’accompagne d’investissements étrangers.
Lorsqu’un pays à pleinement fait sa remonté filiale : industrie de haute technologique. Ambraer.
3 période : virage néo libéral des années 90 -> un virage forcé suite à la crise de la dette. Au départ les méthodes du FMI n’ont pas réellement fonctionnées. Il faut attendre les années 2000 pr que la situation s’améliore. En Argentine, cela s’est traduit par une reprivatisation et une dépendance des exportations notamment de la chine.
Maquiladora -> maquila était la part de farine qui prélevait les meuniers sur les paysans.
Des unsines de montages impliqués du côté Mexicain, et du côté américain l’ingénierie -> les cols blancs. => Twin cities Incarnation d’un système de sous traitance, on importe hors taxe les composants necessaires, assemble au méxique puis réexporter aux USA. Plusieurs générations de maquiladoras : 1er 1965, a partir de 80= 2nd génération, 3e installation de filiale transnationale voir 4e génération pr les établissements qui ont un rôle décisionel. Début 2012 : 2090 maquiladoras dans les 5 états frontaliers, 940M emplois.
Tijuana= 1er centre de d’assemblage de tv au monde, d’ou son surnom de Tijuana. Sony est un des plus gd employeur. Mixicali…
Ajd, croissance de l’industrie aérospatiale, 35 epts à Tijuana.
13) Amérique présente dans le secteur tertiaire
L’attrait touristique du Mexique : pole le plus important d’Amérique latine. En 2014, le Mexique a reçu 29,1MM de touristes se plaçant au 10e rang mondial, ac 16,3MMM$=3e source de revenu. Il est vrai que le pays dispose d’atouts : cité précolombienne : pyramides de tula, xochy calco. 3 cité pré colombienne : le monde maya, les monuments baroque, ville de mexico=ville baroque. Les paysages d’une vue extraordinaire, des plages qui ont donné lieu à des stations balnéaires : cancum, mar de cortès. Le folklore mexicain, les musiciens. Le Mexique peut compter sur son voisons Etatsunnien.
Les caraibes et l’am Latine constitut le second bassin avec des croisière et du tourisme balnéaire. Saint Bathelimy qui doit sa réputation à Rock feller -> tourisme de luxe. Les autres iles des antilles sont connu comme des paradis fiscaux. Les croisières partent de Miami, 5MM de croisiéristes/an= 80% du marchjé @. Jjd
II – L’insertion économique d’une périphérie : dépendance et extraversion
21) Les dangers d’une reprivatisation des économies latinos américaines
En effet la croissance actuel, a marqué un retour aux fondamentaux : recherche des mat 1ères. L’Am l, a renoué faut de s’être industrialisé par un gd nombre tiré par l’exportation des mat 1ère. Elles peuvent être porteuses de prospérités comme désencahntement.
Conso de l’espace, au détriment de l’environnement. Cela se traduit par des conflits miniers de plus en plus important. Des pops locales qui ne voient pas les retombés des matières premières.
La mine en europe appartient au passé. Les mines sont en Am Latin sont d’actualités avec les même conditions qu de travails éffroyables. Le pérou= 6e prod mond d’or. C’est au Chili et au pérou qu’il y a le plus de conflit minier. En Avril 2014, 68 conflits miniers dans ces 2 pays. Mais on en retrouve dans l’ensemble de la région.
Des manifestations et des grèves : contre le projet de Conga dans l’ouest du pays, région carmaca. Projet d’extraction d’or et de cuivre à 25km de Yanacocha. Suspendu en Aout 2014. L’un des principaux enjeux est l’accès à l’eau
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