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La barriérisation des frontières dans le monde d'aujourd'hui

Par   •  27 Juin 2018  •  1 208 Mots (5 Pages)  •  615 Vues

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Alors, les barrières les plus courantes sont les barrières migratoire. Ce qui créer un grand contraste avec la mondialisation qui prône l'ouverture des frontières pour ce qui est des flux capitaux et financiers et marchandises, mais pas pour les individus. Cette contradiction peut être souligné dans l'exemple des États-Unis et du Mexique qui sont séparés par un mur pour empêcher les flux migratoire, cependant ils sont tout les deux membres de l'ALENA, qui est un accord de libre échange entre les deux pays dans le but de faciliter le commerce des biens, des services et des capitaux.

III_ Limites : Les limites de la barriérisation des frontières

La barriérisation des frontières augmente les complications pour la mobilité des hommes. Par exemple, on peut voir les limites des technologie moderne pour filtrer les migrants au mur de la frontière entre les états-unis et le Mexique qui ne diminue pas le flux de migrants et les trafics mais les détournent seulement vers le Nord, ce qui est plus dangereux et plus compliqué pour les migrants. On peut également penser la barriérisation des frontières avec une nouvelle forme de barrière : la barrière administrative. Par exemple, les passeports montre une barrière administrative pour empêcher la mobilité des pays les plus marginaux contrairement aux plus grands pays qui offrent une mobilité plus facilement. De même que l'espace Schengen qui est ouvert aux pays les plus développés, sans besoin de visa, alors que les pays les moins développer doivent se procurer un visa pour rentrer dans l'espace Schengen. (voir croquis)

De plus, en fermant les frontières des pays, augmente alors la peur de l'autre : la xenophobie. Par exemple, dans l'Empire romain, des frontières : les limes délimitaient l'empire et derrière celles-ci se trouvaient les barbares, terme relatif à toutes les personnes qui n'étaient pas romaines et qui de nos jours, prend un sens péjoratif pour une personne cruelle.

En outre, faire des murs c'est construire des barrages (aux pauvres, à la main d’œuvre, aux demandeurs d'asile, au trafic et aux importations illégale, au terrorisme, à des modèles politiques nouveau,…) Les murs qui correspondent aux frontières des États mais ne sont pas dans un but défensif contre des attaques d'autres puissances mais plutôt des échecs de la mondialisation. Construire un mur, ce n'est pas donc pas régler un problème sur la durée mais enfouir un problème plus profond : la croissante fragmentation entre les pays les plus développer et ceux qui le sont moins. La barriérisation des frontières illustre matériellement les échecs de la mondialisation.

Néanmoins, les effets néfastes de la barriérisation des frontières sont à nuancer. Même si les limites de cette barriérisation tendent à montrer que les aspects néfastes sont nombreux, on peut trouver des exemples qui prouvent parfois le contraire. Par exemple, pour ce qui est du mur de Belfast, en Irlande, le Peace Walls, qui séparent les catholiques des protestants. En laissant de côté un rêve idéologique avec un monde sans frontière, et où tous pourraient vivre ensembles, les sondages tendant à montrer que les habitants sont, dans l'ensemble, satisfaits de ce mur, et on peut constater cela en chiffres, car le taux de criminalité et d'affrontements à nettement diminué.

Pour conclure, la barriérisation des frontières est un phénomène à mettre en lien avec celui de mondialisation. Ce phénomène dialectique caractéristique de notre époque est un facteur de complication.

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