Essays.club - Dissertations, travaux de recherche, examens, fiches de lecture, BAC, notes de recherche et mémoires
Recherche

Média et opinion

Par   •  18 Août 2017  •  1 299 Mots (6 Pages)  •  587 Vues

Page 1 sur 6

...

L’idéologie de ce texte :

Nationaliste, xénophobe, antisémite : « La France aux français ».

Aux yeux de cette ligue, sont responsables de la crise, les députés, les étrangers, le gouvernement. Les membres se considèrent comme des patriotes (mot dévoyer de son sens historique, le patriote est un révolutionnaire en 1792 qui défend la République contre les royalistes).

Antiparlementarisme : attitude hostile au Parlement, à ses pouvoirs et aux députés.

L’affaire Stavisky dans un contexte de crise économique :

Stavisky créer le Crédit Municipal de Bayonne en 1931 ; il vend des bons aux particuliers gager sur des bijoux (faux ou volés). L’arnaque est révélée par un contrôle du ministère des finances.

Début 1934 : Stavisky est retrouvé mort ; assassinat maquiller en suicide (deux balles dans la tête).

UN APPEL A MANIFESTER LA 6 FEVRIER 1934.

L’Action Française : journal royaliste et nationaliste d’extrême droite

« Voleurs » = les députés

« La caverne » = le Parlement

- Cf. Ali baba et les 40 voleurs.

Cette crise du 6 février 1934 est le fait des ligues :

Action française –royaliste-

Les croix de feu –nationaliste et républicain- (opposé aux socialistes et aux communistes).

Solidarité française –R. Coty : parfumeur milliardaire, admirateur de Mussolini.

La Cagoule –antifasciste-

« Je suis partout » -anti gauche, antisémite, anti républicain-

Candide –journal + livre de Voltaire ; 340000 exemplaire en 1936.-

Daladier, président du conseil, radial de gauche, renvoie le préfet de police

J. Chiappe qui été favorable aux ligues.

Les manifestants attaquent les renforcements = 15 morts et des centaines de blessés.

Le journal socialiste = populaire – SFIO- manifeste le 6 février, et interprète cette manifestation comme un coup d’Etat fasciste.

Ce qui entraine, le 12 février 1934, une contre-manifestation anti fasciste ; jusque-là, les socialistes et les communistes frère- ennemis depuis 1921, vont s’unir dans un mouvement anti fasciste, qui débouchera, en 1936, sur la victoire du front populaire aux élections législatives.

La radio appartenant à l’Etat, rend très brièvement compte de la manifestation en qualifiant les manifestants de la ligue « repris de justice ».

1940-1945 : la guerre des ondes et une presse au service de la propagande.[pic 3]

A/ un contexte tourmenté.

- 3 septembre 1939 -> 10 mai 1940 = pas de guerre.

- 10 mai 1940 = début de l’invasion allemande.

- 17 juin 1940 : Pétain dit qu’il a demandé l’armistice à la radio.

- 22 juin 1940 : armistice accordé par l’Allemagne.

- 10 juillet 1940 : Pétain obtient les pleins pouvoirs.

- Loi du 10 juillet 1940 -> fin de la 3ème République.

-> Régime de Vichy (dictature).

Révolution Nationale :

- Censure (média, presse).

- Travail Famille Patrie (≠ Liberté, Egalité, Fraternité = Révolution française).

- Interdiction d’appartenance aux partis politique

Syndicats

De participation aux grèves.

- Plus d’élections -> nominations

- Antisémitisme -> Statut discriminatoires des juifs.

- Traque des Républicains, socialistes, communistes, juifs + anglophobie, anti gaullisme.

B/ La presse collaborationniste.

...

Télécharger :   txt (9.1 Kb)   pdf (85.1 Kb)   docx (15.6 Kb)  
Voir 5 pages de plus »
Uniquement disponible sur Essays.club