Méthodologie documentaire
Par Matt • 11 Octobre 2017 • 2 894 Mots (12 Pages) • 535 Vues
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… Elle a perdu son but qui est de convaincre. Elle a ainsi perdu son but qui était de plaider et de convaincre et s’est réduit a un … Parler pour ne rien dire ... Claude LEVISTRAUSS quand il parle d’argumenter il dit que c’est un enseignement multiforme priver de toute validité méthodologique : Triste tropique. Cette critique va bien montrer le malaise de cette science qui sclérosé mais aussi les avantages de la rhétorique. On a arrêté la rhétorique dès la première mais c’est un manque, laisse un vide. Après les années 68, on a eu son retour. Les problèmes des activités social et actuelle suppose de recourir à des études comparatives et contradictoire. Et requiert des techniques argumentatives et évaluatives. De plus l’activité conceptuelle est discursive (de rédaction) nécessité par tout choix et toutes prise de décision met en jeu l’argumentation. La rhétorique se voit donc revalorisé et refait son entrer dans l’enseignement. Elle devient ainsi une composante de la modernité littéraire.
Les 4 parties du système rhétorique :
- L’invention, ou eurésis, c’est la recherche par l’orateur de tous les arguments et autres moyens de persuasion relative au discours. Elle comporte 3 genres : le genre judiciaire, délibératif ou politique et le genre hépilypthique.
- La disposition, ou taxis, c’est la mise en œuvre des arguments d’où résultera l’organisation interne du discours c’est le plan.
- L’Elocution, commence par l’exorde, c’est ce par quoi le discours commence il a pour but de rendre la public docile c’est l’introduction, après la narration c’est le récit des faits qui doit être clair et brève, ensuite vient la confirmation ’est l’ensemble des preuves et la réfutation de celle-ci et ensuite vient la dégression (péroraison)
- L’action, c’est la prononciation effective du discours avec les effets de voix, la gestuelle. A cette dernière partie il faut ajouter la mémoire apprentissage du discours. Il faut le mémoriser pour pouvoir le faire vivre.
L’argumentation :
- Un argument c’est ce qui permet de convaincre ou de persuader par la raison ou par l’affectivité ou les 2. Convaincre c’est par la raison persuader c’est par l’affectivité. Lors d’une élection les candidats veulent persuader (c’est le résultat qui compte et c’est l’affectivité) par contre pour la convaincre c’est la raison.
- Les arguments quasi logiques : c’est … il est définie comme comparable à des raisonnements logiques ; se sont des raisonnements issus de la logique formelle : si A est meilleur vendeur que B et B est meilleur vendeur que C alors A est meilleur vendeur que C. mais ici nous somme dans des conditions humaine donc A n’est pas forcément meilleur vendeur que C transitivité. L’argumentation : on parle de l’être humain.
- Les arguments de la définition. Se sont des arguments quasi logique car il relève des principes d’égalité ou d’inégalité. Ils sont définitionnels ou comparatif. On a d’abord les formes logiques de la définition. Définir c’est poser une relation d’équation ou d’équivalence en vue de donner un sens à un concept. C’est en général un préambule à l’argumentation. On définie pour s’entendre sur les bases. La définition est un préambule nécessaire à une explication qui exige un accord préalable sur les concepts mise en œuvre. Cette définition est importante. On peut définir en compréhension et en extension. On va donner les propriétés caractéristique d’un objet, en vu d’en permettre une représentation … ou abstraite. C’est la stratégie du bon sens. On va définir un musé en disant qu’il contient des tableaux de tel ou tel peintres. Les définitions descriptives : on va décrire une situation en substituant un terme à un autre. Ensuite il y a la définition opératoire : on substitue au terme à expliquer le résultat. On ne cherche pas les propriétés constitutives de l’objet mais ces effets symptomatiques. (Tel corps est acide car il fait viré le papier tournesol on définition QUE Par ces résultats.. définition explicative, on va expliquer l’objet à définition et on cherche les éléments qui le distingue de ces voisin. On à la définition conventionnel = préciser le sens d’une expression déjà connu mais au contenu incertains. On vise ainsi à créer des conventions avec l’auditoire.
- Les formes rhétoriques de la définition : c’est une utilisation dialectique de la définition visant à convaincre autant sinon plus qu’à expliquer et même à manipuler. Pour ces formes rhétoriques on peut utiliser plusieurs techniques définitionnelles. On va définir le dictionnaire comme étant le recueil de mot d’un certains langage, comme un garant de l’orthographe…
- Ensuite on à la définition orienter : le contexte est argumentatif, polémique et dialectique, on définit dans un certain sens dans un certains domaine.
- La définition condensé et le slogan: on le trouve beaucoup dans la pub c’est la valeur argumentative de la petite phrase/ c’est la condensation d’une formule bien sentit et sont insémination au genre apparemment rigoureux de la définition. Sa à l’aire d’une définition mais en faite c’est un argument. La comparaison et le distinguement.
- La comparaison est une manière commode de définition un objet en privilégiant un aspect en frappant une imagination par des affirmations concrète et parlante : entrer dans la fonction publique : plutôt me faire moine on compare la fonction publique et le monastère pour dévalorisé les 2. On va définir les principaux thèmes jusqu’à se qu’il y est plus de comparaison possible.
- Le distinguo est une comparaison négative, une inadéquation en quelque sorte. On montre que sa peut pas passer.
- L’incompatibilité : c’est la contradiction. Elle va opposer une idée à sa contradiction pure et simple. L’incompatibilité se manifeste entre 2 assertions qui ne peuvent coexister. Un astre ne peut pas être une planète et une étoile. C’est soit l’un soit l’autre. l’autophagie nommé aussi argument du tiers exclus c’est l’incompatibilité d’un principe avec ces conditions d’énonciation, ces conséquences et ces conditions d’application. Dans l’incompatibilité, l’idée s’auto détruit. L’idée se détruit d’elle-même. La mise en évidence de l’autophagie s’appelle la rétorsion. Ce sont des procédés utilisé très souvent en politique. Et enfin on a le dilemme= alternatif qui conduit à opter pour le moindre mal c’est le choix négatif
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