Management tn1

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- La subordination de l'intérêt individuel à l'intérêt général correspond aux principes de l'entreprise – M. Blanchette tente, même si d'après moi de la bien mauvaise façon, de régler les problèmes pour que l'entreprise soit productive et soit compétitive.

- La rémunération correspond aux principes de l'entreprise - Ce sont des employés salariés.

- Le degré de centralisation correspond aux principes de l'entreprise

De toute évidence, la partie patronale ne veux pas avoir l'avis des commis, surtout pas leur donner un semblant d'importance dans la prise de moyens d'amélioration ou de décision en ce qui concerne ce qui touche le service des réclamations. De cette façon on évite de donner le sentiment d'importance à un commis qui est le subordonné ayant aucun pouvoir dans l'entreprise.

Il estimait que les commis aux réclamations devraient être consultés afin de pourvoir expliquer les erreurs et suggérer des façons d’améliorer les choses. Pouvez-vous imaginer ça !

- La hiérarchie ne correspond aux principes de l'entreprise

Le directeur M. Blanchette ne pense seulement à sa seule personne et tente de camouflé les erreurs qui pourrait mettre en périls son poste.

… si les résultats de cette étude devenaient publics, chaque damné client demanderait une remise ou un remboursement en alléguant que nous nous sommes trompés sur les réclamations. La direction ne serait pas exactement satisfaite de moi si une telle chose devait s’ébruiter et mon service aurait encore plus mauvaise réputation au haut lieu.

- L'ordre

Je ne vois pas vraiment d'extrait qui cas qui en traite. Mais un manque d'expérience dans les employés commis pourrait être un problème.

- L'équité ne correspond pas aux principes de l'entreprise

Il ne les aide pas, ne les soutient pas encore une fois. S’enlise dans un principe de je suis le patron et vous êtes les subordonnés.

Je les ai également informés que j’avais finis de trouver des excuses pour justifier leur mauvais travail auprès de la direction.

- La stabilité du personnel correspond aux principes de l'entreprise

La majorité des employés semble avoir 3 ans d'expériences dans cette division, le problème ne ce situe pas dans la stabilité du personnel, mais plutôt dans le soutien de ceux-ci.

Marie-Lyne, tu as autant d’expérience que tout le monde ici...

… la Marie-Lyne en question a trois ans d’expérience …

- L'initiative ne correspond pas aux principes de l'entreprise

Un employé démontre une façon de bien vouloir impliquer les commis aux idées pour régler les principaux problèmes qui touche le service, mais la partie patronale ne voit pas cette offre sous le même angle. Il ne faut surtout pas donner un brin de pouvoir à un subalterne est la façon de penser de la direction.

Il estimait que les commis aux réclamations devraient être consultés afin de pouvoir explique les erreurs et suggérer des façons d’améliorer les choses. Pouvez-vous imaginer ça !

- L'union du personnel ne correspond pas aux principes de l'entreprise : Pour corresponde au principe de l'union M. Blanchette ferait plus des rencontres individuelles ou encore des ''meetings'' sur une base régulière et laisserait la parole aux commis pour qu'ils puissent s'exprimer. La parole est toujours d'un sens plus clair à l'expression et ne laisse pas d'ambiguïté en termes d'humeur ou d'expression.

J’ai perdu le compte du nombre de mémos que j’ai envoyés à tous les commis aux réclamations pour leur souligner qu’ils ne font pas du bon travail. Il ne se passe pas une semaine sans que je n’ai pas à écrire à l’un ou à l’autre…

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Avec le style de gestion de M. Blanchette nous sommes loin de la complète définition de la division du travail. Tous on des fonctions distinctes mais malheureusement le directeur sème la terreur par sa gestion menaçante et trop autoritaire et directe sans tact.

Marie-Line… pourquoi tu te plante aussi souvent ? À quoi tu penses quand tu fais ton travail ? Tu travails mal.

Je lui ai dit de se mettre à l’ouvrage et de s’arranger pour comprendre faute de quoi elle devra se chercher du travail ailleurs.

Plus M. Blanchette envoie des mémos, plus il freine la communication entre lui et les employés du service. Ses plans de changement pour augmenter la performance de son service sera vite un échec puis qu'il crée un climat négatif dans son équipe. Il n'offre pas le soutien nécessaire pour qu'ils puissent enfin mieux performer même suite aux plaintes. Par son style de gestion, M. Blanchette rend difficile la collaboration entre la partie patronale et ses employés.

Malheureusement, la culture d'entreprise est présentement sans motivation. Elle ne correspond pas à un système intéressant à intégrer, l'absence de coutumes au sein du groupe et de loyauté de la part du directeur donne un goût amer du vouloir de se dépasser pour remettre la division sur les rails

Le directeur commercial de la division médicale menaçait de porter plaintes…

J’ai dit à Le Scelleur que quand je voudrais l’entendre japper je tirais sur ca chaîne mais qu’entre-temps je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction.

Lorsqu'on parle de productivité, on met d'avant l'état du moral du groupe d'employé et de la satisfaction des membres au sein de ce même groupe. Plus le moral et la satisfaction sont complémentaire et positive plus la productivité sera bonne, ce qui n'est pas le cas chez Sécuriplus division des réclamations/médicaments.

M. Blanchette essaye de susciter la participation des employés en leur envoyant