L’organisation des services de la petite municipalité de Rivière-Rouge

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Les contraires primordiaux ou la force du Yin et du Yang

De plus, une autre façon d’observer l’organisation est de la regarder comme des contraires qui se complète et s’équilibrent, l’un ne pouvant être (exister) sans l’autres. Ils permettent ainsi un équilibre. La municipalité dans sa configuration hiérarchique peut être regardé comme les deux forces la tête étant le Yin et le bas comme la force féminine dominer, le yang. Les deux existent, l’une grâce à l’autre, et s’alimentent tout deux tout en se préservant de tomber dans l’extrême destructeur, les forces de chacun s’équilibrent mutuellement et se soutiennent, formant l’organisation.

L’organisation vue comme un instrument de domination

D’ailleurs, le gouvernement peut conserver la main mise, le pouvoir légitime sur les

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municipalités; il peut façonner l’organisation puisqu’il le finance et le subventionne. L’organisation de la ville devient elle aussi un instrument de domination puisqu’elle organise les services dispensés aux citoyens qui dépendent d’elle et doivent en échange suivre les normes et les règlements établis par celle-ci sous peine d’amande, l’organisation municipale devient comme un instrument de l’état pour contrôler et pour conserver une certaines harmonie.

Système référentiel radical, la domination des dirigeants, les moyens économiques pour y parvenir.

La direction utilise souvent des employés et exerce leurs dominations en utilisant des raisons budgétaires pour arriver à mieux les exploiter ou les pousser leurs performances au maximum. Certains techniciens sont embauchés à des postes nommés saisonnier de cette façon ils ne bénéficient pas d’avantages sociaux ni d’assurance et de sécurité d’emploi lorsqu’ils veulent des congés ces à leurs frais. D’ailleurs, les poste nécessitants 2 techniciens sont réduits à produire le travail de 2 employés en un temps deux fois moindre, ce qui donne lieux à des maladies professionnelles comme les ‘’Burns out’’. Ils travaillent ainsi plus de 8 mois par année en faisant des heures supplémentaires nécessaires pour réaliser toute la charge de travail, souvent jusqu’à l’épuisement ou la démission et sont tous simplement remplacés par un autre jusqu’à ce qu’ils l’ait épuisé et vidé et ainsi de suite.

La domination par les différentes strates sociales

Au conseil, les élus quelque élus de classe social supérieur ( quoique moins nombreux) ont plus de valeurs et de poids lors des votes et des assemblées que ceux des classes sociales inférieurs dont leurs opinions sont très souvent moins respectés et écoutés que les autres. Cette situation se répète à l’intérieur de l’organisation aussi et dans les services et entre les employés; comme les travailleurs de la voirie par exemple sont moins valorisés et préservés (facilement remplaçables souvent d’après les préférences des responsables ils sont parfois jugés de manière plus ou moins professionnelle.

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Domination d’un groupe par un autre.

Aussi, la classe ouvrière ou journalier, sont aussi moins respectés par les employés de la direction qui ne leurs permette pas d’avoir d’attitude familière avec eux et leurs avis sont souvent les derniers écoutés ou retenue. Les employés du service de l’urbanisme, de la culture et de l’administration, émettent souvent des remarques désobligeantes à l’endroit des employés du service de la voirie sujet à l’abaissement du à la nature de leurs travaille, il devient facile pour les membres des autres services de faires des recommandation ou d’aviser que les rues n’étaient pas bien déneigés hier et qu’ils se fasse taper sur les doigts; alors que c’est le services de l’urbanisme où les employés sont davantage exploités et où l’on retrouve le plus grand nombre de burn-out, c’est aussi le service le plus détestés dans l’organisation, cela devient pour les employés de se secteurs, souvent lourd et pénible.

L’exercice de la domination dans la francophonie par la manipulation du langage ou la confiscation de la parole.

Lors de réunion, seul les cadres y participent donc seules les informations qu’ils auront jugés pertinents ou avantageux pour eux pourraient être discutés, les autres s’en remettent à l’honnêteté ou la confiance envers leur directeur qui représente leurs services respectifs. Même chose pour le système décisionnel des conseillés, les décisions peuvent être prises en tenant compte d’une majorité votante, c’est à dire que souvent les gens ne votent pas, pense cela inutile de voter, ou ne sont pas informés à l’avance des réunions pour voter une décision ‘’urgente’’. Leurs pouvoirs de parole demeure discutables.

L’État domine, l’institution mécanisme de surveillance et de domination social

La domination et les classes se remarque à un plus haut niveau. Comme en ce qui à trait à la grandeur de la ville par rapport à l’écoute et l’implication des différents ministères comme par

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exemple, le ministère de la faune ou de l’environnement prendra moins au sérieux un problème dans cette municipalités que dans une plus grande ville. Lorsque des problèmes plus complexes se présentent, la grandeur du cours d’eau n’est pas tenue pour compte ni la faune, eux aussi affirmant avoir peu de moyens d’aider étant au prise avec des coupures de postes et moins de budget d’années en années donc d’agents et de biologistes opérationnel sur le territoire de la province et encore moins pour vérifier ce qui se passe dans ces cours d’eaux au prises avec les myriophylles ou des populations de cerfs mort prématurément. Ainsi selon leurs décisions ils contrôlent ce qui sera fait côté environnement, émissions d’avertissement, test de contamination des nappes d’eaux, espèces en dangers, recensement de population animale etc. Le tout en collectant de loin toutes les données et renseignement nécessaire au mise à jours de leurs banques d’informations. Les municipalités ne peuvent agir sans l’avis du ministère, alors elles ne font rien ou ne sont pas obligés de dépenser dans ce sens.

Les multinationales et l’économie mondiale.

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