Les handicaps de l'enfant
Par Plum05 • 14 Mai 2018 • 720 Mots (3 Pages) • 489 Vues
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10 ans : il recherche son identité
• réactions psychologiques de l’enfant selon sa déficience :
- l’enfant déficient auditif : difficultés de mémorisation, troubles du langage, pertes de l’équilibre,
difficulté à se repérer dans l’espace et le temps, anxiété, immaturité affective
- l’enfant déficient visuel : retard dans le développement psychomoteur, repli sur soi, peur du
contact avec les autres, dépendance affective, retard acquisitions du quotidien et de l’autonomie
- l’enfant déficient mental : besoins de repères du fait de sa compréhension lente et limitée, sa
difficulté à s’approprier les infos et s’adapter aux variations du milieu environnant
- l’enfant déficient moteur : difficulté à développer son schéma corporel, souffrances dues aux
interventions qu’il a pu endurer
• réactions psychologiques à l’arrivée d’un enfant handicapé dans la famille :
- incrédulité
- refus
- révolte : les parents acceptent le handicap mais ils veulent le compenser dans un autre domaine, ils
le poussent à faire ce qu’ils attendaient de lui
- acceptation passive : les parents acceptent le handicap de l’enfant mais le cachent et le
compensent par une surprotection ; ils se sentent coupables et veulent se faire pardonner.
• modifications de la vie familiale :
- les parents : les parents se rejettent mutuellement la faute, mésentente au sein du couple, la mère
peut se sentir coupable et le père souffrir et être jaloux de l’attitude excessive que la mère a pour
l’enfant
- les frères et soeurs : jalousie, honte, agressivité, refus de sortir avec l’enfant handicap, ou bonne
acceptation
- l’enfant lui-même : se sent une charge de trop, rejeté ou surprotégé, devient capricieux, exigeant,
dépressif, se sent un enfant normal et supporte son handicap
Intégration de l’enfant dans les milieux d’accueil :
• principe de l’intégration de l’enfant handicap : reconnaissance des différences
• modes d’intégration de l’enfant handicapé : considérer l’enfant comme un autre mais
répondre aussi à ses besoins spécifiques : de sécurité, de relation, d’expériences
• intégration en crèche : retentissement positif sur l’enfant, sa famille et la structure
• intégration en école maternelle : elle peut faire l’objet de réticences car rythme trop rapide
pour l’enfant et effectifs importants, mais elle est positive pour la sociabilisation,
l’autonomie et la personnalité de l’enfant qui se développeront plus rapidement
• intégration en école élémentaire : difficile à réaliser, nécessité d’accompagnement (AVS)
• intégration dans la société : le handicapé suscite un malaise, la peur, il faut alors prévenir
les jeunes en les sensibilisant au problème du handicap pour mieux faire accepter les
handicapés
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