Le don d'organes : la question des besoins et de la pénurie
Par Ninoka • 15 Octobre 2018 • 917 Mots (4 Pages) • 592 Vues
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indispensables avec les immunosuppresseurs, HLA (molécules impliquées dans la compatibilité tissulaire) et la description d’un nouvel état clinique = coma dépassé = mort encéphalique = destruction totale du cerveau malgré l’apparence vivante, le cœur qui battait et assistance respiratoire.
Dans les années 60 : premier succès des greffes réalisées à partir d’organes prélevés chez les donneurs décédés.
Dans les années 70 : développement de la technique avec des succès prolongés et une demande qui a beaucoup augmentée et qui s’est vite intéressée à d’autres organes.
Années 90 : démonstration d’une amélioration de la qualité de vie et augmentation de l’espérance de vie des individus ayant subi une transplantation face à ceux dialysés d’où augmentation de la demande.
LES RESULTATS :
• Présentation de courbe de survie (ordonnée : taux de survie ; abscisses : durée de temps qui s’écoule après la greffe.)
Cas des greffons rénaux : la survie des greffons diminue progressivement avec le temps, on n’a pas trouvé de greffons durant toute une vie. L’amélioration de la survie en ce qui concerne les personnes transplantées rénale est vraie par rapport aux personnes dialysées mais est aussi vraie à n’importe quel âge. Intérêt de la transplantation en terme de survie.
La survie des greffons 10 ans après la greffe est de plus de 62%.
En 2012 : 34 000 personnes ayant un greffon fonctionnel population de gens qui serait morts si les transplantations n’avaient pas existées.
La population avec un greffon augmente chaque année.
• En ce qui concerne le foie et le cœur, les cas sont différents. En effet il n’y a pas de machines permettant de faire du foie ou du poumon artificiel.
Pour les cas d’insuffisance cardiaque le seul moyen de survie à long terme est la transplantation.
Pour les personnes atteintes d’insuffisance hépatique, la machine existe mais pas compatible avec une survie prolongée.
En 2012 : 11 000 patients avec un greffon hépatique fonctionnel. Quand on regarde les courbes de survie la période post-transplantation est la plus houleuse mais par la suite (10ans après) on a un taux de 62% de survie résultats semblables à la greffe de reins.
En 2012 : 4200 patients avec un greffon cardiaque fonctionnel, période la plus difficile post-opératoire. 10 ans après la transplantation plus de la moitié des receveurs est toujours en vie.
Pour la transplantation pulmonaire les débuts ont été très difficiles. La survie a considérablement augmenté mais le taux d’amélioration stagne depuis les années 2000. Cependant la transplantation pulmonaire reste la seule solution efficace pour un certain nombre de maladie et pour des patients souvent jeunes tels que les cas de mucoviscidose. Traitement souvent proposé, adhéré et désiré.
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