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La peur cas

Par   •  25 Mars 2018  •  1 513 Mots (7 Pages)  •  460 Vues

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La figure du Loup : depuis des siècles elle a était à l’origine de nombreuses légendes en Europe depuis le Loup garou jusqu’à la bête du Gévaudan

La Figure Des Yokai :

Elle marque beaucoup de japonais, car la population est attachée au folklore paranormal

Au Japon, l'image d'« une femme à la chevelure désordonnée sous un capuchon triangulaire, dans une robe flottante sans pieds », correspond parfaitement à la description archétypale du yūrei, omniprésente au théâtre ou dans les maisons hantées

Le cinéma d’épouvantes à largement puisée dans l’inconscient collectif et ce bestiaires ce renouvelle constamment

Exemple :

Slenderman qui à vue sa popularité grimpée en flèche avec la série Marble Hornets, celui-ci est un phénomène récent mais s’inspire de figure anciennes

L’enfance est un moment particulier et décisif sur le rapport qu’aura l’individu avec la peur, notamment parce que le monde n’a pas était encore rationnalisé, ce n’est pas pour rien que souvent dans les films d’épouvantes les personnages principaux sont des enfants, la figure de l’enfant nous connecte directement à des peurs ancestrales sans qu’on sache particulièrement pourquoi. Pendant L’enfance l’environnement est perçue à travers un regard et une imagination qui n’ont pas encore était freinée par les impératives de la vie d’adulte. Et c’est à ce moment où tout semble possible que les peurs viscérales trouvent un terrain fertile pour se développé, des peurs qui suivront l’individu tout le long de sa vie à un niveau plus ou moins conscient. Beaucoup de gens ont était terrifiée à un jeune Age par un ou des films qui se souviennent toutes leur vies, ces films ne sont pas forcément du domaine de l’épouvante.

En effet la peur ne se limite pas au cinéma d’horreur, d’ailleurs c’est le fait de la rencontrée hors de ce contexte qui la rend plus forte, c’est ce qu’on appelle une rupture de ton. Comme la peur est inattendue car placée dans un contexte où elle n’a pas sa place, l’esprit n’a pas le temps de dressé ses défenses et l’impact du ressentit en sera décuplée, l’enfance est donc le moment où les ruptures de ton seront ressenti avec la plus grande intensité, sans recul impossible de se fixé à des repaires fiables pour gérer l’inattendu. La rupture de ton provoque un sentiment de perturbation.

D’une part car l’esprit non préparé subit un choque et d’autres part car le mécanisme de la véritable peur au cinéma repose sur que Freud en 1919 a appelé l’inquiétant étrangeté. Elle décrit la fissure dans la rationalité du quotidien qui crée sans trop savoir pourquoi un profond sentiment de malaise, et ce malaise difficilement identifiable constitue le fondement de la peur.

Exemple de confusion entre peur et surprise : Sillent Hill de Christophe Gans 2006

Ce Film à déçue car les gens s’attendait à avoir quelques frissons sans porté trop à conséquences. Mais le réalisateur à préférer mettre en avant une ambiance sombre et froide et un climat de peur véritable que des Jump Scare.

Ce film montre que peu de personne fond la démarche d’allé voir des prétendues films d’épouvante pour être véritablement mal alaise. C’est le paradoxe peu de personne vont voir des films de peur pour avoir peur.

Dans le cas où le spectateur veut voir un film de peur sans avoir peur, il vient surtout pour s’amusé et s’inscrit dans un rituel social, c’est pour cela que le cinéma à vue beaucoup de création de film de consommation comme les slashers

La peur au cinéma ce n’est donc pas ça, elle ne se trouve pas forcement là où on l’attend et ses frontières sont loin de correspondre aux frontières du cinéma d’épouvantes, ce qui en fait une émotion difficile à cerné. Sous sa véritable forme et la où elle se trouve la peur peu permettent de grandir, elle nous permet d’identifié nos peur viscérales et nous offrent une occasion de les affronté, c’est ce qu’on appelle la catharsis, c’est-à-dire l’exorcisme des peurs et des pulsions par le biais de leur représentation dans les films. La peur et la surprise ne sont pas incompatibles. Comprendre les mécanismes de la véritables peur au cinéma permettra de ne pas juger un film sur des mauvaises base et apprendre à mieux se connaitre en tant que spectateur et aussi en tant qu’individu au sens large

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