La mondialisation de l’économie renforce les puissances multiple les pôles d’impulsion. quels sont ces pôles et quelle est leur envergure
Par Andrea • 19 Décembre 2017 • 1 149 Mots (5 Pages) • 592 Vues
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premier à citer est l’accord de libre échange nord Américain (ALENA) signé le 12 août 1992 entre les Etats Unis d’Amérique, le Canada et le Mexique. Il prévoit l’élimination des droits douaniers entre les trois Etats et la création d’une vaste zone de libre échange qui permettra aux intéressés de démanteler quelques 20.000 tarifs douaniers. Avec un commerce extérieur de 1250 milliards de dollars en 1990, cet ensemble restera loin derrière la communauté Européenne qui pèse 2772 milliards, mais loin devant le japon et ses 523 milliards.
Le second pôle est le marché commun du sud de l’Amérique latine (MERCOSUR) qui fût crée en 1991 par l’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay afin de renforcer la coopération économique et le libre échange entre ces pays. Il devient ainsi un pôle d’attraction. le Chili et la Bolivie ont signé des accords de libre échange avec le « MERCOSUR » en juillet 1996 alors que le Venezuela et la Colombie sont des candidats à l’adhésion. le « MERCOSUR » est entré en vigueur en janvier 1995.
Le troisième pôle est le pacte ANDIN qui est un accord conclût en 1969 entre les principaux Etats des Andes pour favoriser la coopération économique. Réactivé en 1988, il regroupe la Bolivie, la Colombie, l’Equateur, le Pérou et la Venezuela. Leur objectif est de créer une zone de libre échange qui permettra aux intéresses de diminuer les tarifs douaniers .
On y trouvé également l’association of SOUTH-East Nation, association des nations d’Asie du sud est (l’ANSEA ou ASEAN), crée en 1967 entre Brunei, l’Indonésie, la Malaisie, les Philippines, Singapour et la Thaïlande, pour favoriser la coopération économique et qui vise aujourd’hui à devenir une véritable zone de libre échange. Formée d’abord sur une politique et diplomatique avant de mettre en place des droits douaniers préférentiels pour des groupes limités de produits à la fin des années 70. Cette approche très progressive s’est accélérée en 1991 avec la conclusion d’un accord prévoyant la création d’une zone de libre échange d’ici 2003 les quatre dragons ont stimulé la croissance des pays de l’ANSEA par le biais d’une augmentation de leur importation en provenant de ces même pays.
Enfin, il est opportun de citer l’union Maghreb Arabe (UMA) conclut entre le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. mais si la base de L’Union Européenne réside en la consolidation des lieus économiques, la mise sur pied des projets communs et la facilitation de la circulation des marchandises et des personnes entre les différents pays de L’Union, pour l’UMA la faiblesse des échanges et de la concertation au plan économique et aussi à la nature concurrentielle de l’économie Maghrébine.
Le monde d’aujourd’hui est largement commandé par des impulsions venant de plusieurs pôles géographiques (Etat Unis, Union Européenne et japon) qui constituent l’oligopole mondial. A fin du deuxième millénaire, on assiste à une accélération de la mondialisation des échanges et l’interdépendance des économies marquées par l’exacerbation de la concurrence et la primauté des stratégies financières productives. Dans le même temps une polarisation géographique se traduit par la constitution d’ensemble régionaux dépassant les frontières des Etats, au moment même où les frontières douanières s’abaissent dans le monde, des efforts sont entrepris pour renforcer les échanges fondées sur la proximité. Ces efforts se traduisent par la constitution de marchés communs, d’unions douanières et de zones de libre échange.
Performances d’un tel système seront elles en mesures de répondre aux respirations de bien être de toute la planète. Seul le troisième millénaire en sera
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