La critiqe de la societe au XVIIe siecle
Par Junecooper • 27 Novembre 2017 • 1 034 Mots (5 Pages) • 462 Vues
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B/ l’auteur doit nuancer ses idées pour ne pas s’exposer à la censure
Nous ne pouvons oublier de citer Molière qui a réussi à se faire un nom au sein de la Cour du Roi Soleil tout en se moquant du ridicule de celle-ci avec Le Bourgeois Gentilhomme par exemple.
C/ le théâtre expose avant tout une histoire
Le théâtre doit raconter une histoire et non exposer une suite d’idées. Il doit faire de cette suite d’idées quelque chose de cohérent, comique dans certains cas mais surtout intéressant pour accrocher le public. Une pièce de théâtre ne se limite généralement pas à son auteur et à son texte mais s'articule autour d'une mise en scène propre à chaque représentation.
Synthèse : le théâtre, sous une forme comique, critique d’une forme nuancée la société
Le théâtre peut se présenter comme un porte-parole de l'auteur, et répandre ainsi ses idées, critiques de la société, de ses défauts à travers ce genre qui offre des facilités car il offre une possibilité de "faire parler le personnage", et dispose d'un public plus large. Malgré tout, l'auteur s'oppose à quelques difficultés, tel que la censure, les malentendus, et au caractère divertissant de la pièce de théâtre. L'auteur y exprime cependant ses opinions, et suscite des débats quant à la véracité des critiques ou défauts mentionnés. Le genre théâtral pourrait alors prendre une importance primordiale quant à la stimulation de nouvelles idées dans la société. Si le but premier de la Comédie est principalement de divertir, elle représente surtout les travers d'une société. Il serait impensable de négliger ce deuxième aspect, qui d'ailleurs peut être lié intimement au rire, qui correspond à l'exacte définition du mot. Ne nous arrêtons pas à ce qu'on appelle communément le premier degré, il faut découvrir le message que le metteur en scène a voulu exprimer. Dès lors, l'ironie peut être utilisée: la manière de se moquer de quelqu'un ou de quelque chose en disant le contraire de ce qu'on veut dire, provoque le rire. Ce pendant la confusion entre le registre ironique et comique ne doit pas être faîte. Ce sens plus profond mérite une écoute plus attentive où l'on décèle alors des antiphrases, des idées trop absurdes pour être vraies.
Conclusion :
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