L’ENGAGEMENT SCIENTIFIQUE ET L’INTELLECTUELLE DÉMOCRATIQUE.
Par Andrea • 18 Février 2018 • 1 834 Mots (8 Pages) • 517 Vues
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Après, on constate que la science a des responsabilités liés à la société et l’auteur fait remarque sur ce sujet en disant que « a diffusion du savoir auprès de ceux qui en avaient été privés (les ouvriers, les employés, les femmes, etc.) ira de pair avec une reconnaissance des responsabilités de la science envers la société et de l'altérité que cette dernière installe dans les pratiques scientifiques ». En fait, l’engagement des scientifiques et intellectuelles répond à cette responsabilité que tout homme et femme a avec la société pour le fait d’être partie de celle-ci mais aussi pour être touché pour les évènements qui se déroulent dans la même.
Dans une deuxième part du texte, l’auteur parle des clefs de l’engagement des savants dans l’affaire Dreyfus. C’est ainsi que il établit trois points principales sur lesquelles la science peut aider par rapport la civilité. En premier lieu, on trouve « la possibilité d'orienter des techniques d'analyse vers des champs plus larges. En deuxième lieu, la volonté de défendre un ordre de raison dans la vie publique et de refuser, pour cela même, l'erreur, l'imposture ou le mensonge. Et en troisième lieu, la force de pouvoir résister à l'autorité ou à la foule pour défendre un seul homme, et d'incarner par conséquent un type d'intellectuel, critique, démocratique. » (Vincent, 1999)
Ces trois apports de la part des «savants» démontrent qu’il y a des formes impensables pour arriver à résoudre des problèmes qui sont traditionnellement éloignés des sciences. C’est aussi une preuve qui permettre que les sujets sociaux concernent a tous les personnes, sans importer sa profession ou son métier. C’est une clef pour commencer à penser sur la forme en que la société a résolu ces problèmes, à partir des opinions de quelques-uns et sans avoir en compte tous les points de vue possibles.
Finalement, l’auteur pose le dernier point sur l’engagement des «savants» comment le point qui a permis la naissance de « l’intellectuel critique » à travers de la révélation de «l’esprit scientifique». Ce dernier, a permis de renouveler la raison scientifique en privilégiant les pratiques, l’interrogation et l’échange de savoirs sur les théories, les procédures et la spécialisation des disciplines. Alors, on peut dire que la science est devenue une partie de la sphère critique de la société, en prenant le rôle de génératrice de conscience et aussi de source des solutions diverses aux problèmes d’indole civique et sociale.
Sans doute, le texte développe de manière précise l’influence que la science, et plutôt, les «savants» devenus «intellectuelles» du XIX et XX siècles ont eue dans le grand événement qui a signifié pour la société française l’affaire Dreyfus. En conséquence, cette influence a resté à partir de ce moment-là pour devenir dans une société plus engagé avec les sujets civiques, politiques, et sociaux. D’après le texte je peux retenir l’importance d’involucre les différentes disciplines du savoir pour mieux comprendre et résoudre des problématiques sociales qui impliquent à chaque individu, sans importer le métier ou profession.
C’est intéressant saisir comment les scientifiques, qui pendant plusieurs époques ont été destinées à résoudre des problèmes apparentement dissociés des affaires civiques et politiques, ont réussir s’envoler dans la cadre de la vie et les évènements politiques, juridiques et sociaux, de manière tel qui sont devenus et reconnus comment un moyen et outil pour mieux comprendre la complexité de ces affaires.
Malgré la description détaillé du suces lié à la condamnation du capitaine Dreyfus, le texte est limité par l’époque et les circonstances spécifiques de l’histoire de la société française du XIX siècle. Sans connaitre a profonde les causes et le contexte dans lequel l’affaire Dreyfus a déroulé, est un peu difficile de comprendre toutes les implications et importance que celui-ci a représenté pour le développement de la société française à partir de ce moment-là.
Le texte a permis rencontrer le lien toujours existent entre science et société. À travers de l’énonciation de chaque cause qui a permis aux savants de s’impliquer dans l’affaire Dreyfus, et les points de vues exprimés grâce auxquels la science a pu se dérouler dans les sujets civiques, démocratiques et sociaux, on retrouve que la société a eu une tendance à isoler les connaissances, en raison de spécialiser les savoirs de chaque métier ou profession existante. C’est pourquoi, que la prise de décisions qui touchent à toute la communauté est développé, dans la plupart des cas pour quelques-uns, qui ont le pouvoir et le contrôle de choisir et décider « au nom de » tous les autres.
Ce sujet m’a fait penser sur la direction que, comme future professionnel et actuelle étudiante, j’en ai sur le compromis avec les sujets «étrangers» à mon carrier. C’est évident la nécessité de s’involucre plus loin de la cadre de chaque métier, puisque en étant membres de une société, chaque individu est touché par des évènements qui se déroulent au cœur de celle lui-ci. Mais surtout, comment la société en général, conçoit chaque métier et rôle dans une société pluriculturel et très diverse.
Pour conclure, le texte donne une idée très claire sur le lien indiscutable entre les sciences et la société. Car l’affaire Dreyfus est un cas clairement qui a pu être résolu seulement par ceux qui avaient le pouvoir politique et juridique. Mais, l’engagement de la partie de la société qui était dédié aux affaires « éloignés » de la politique et la justice a donné un nouveau point de vue sur l’apport qu’ont les sciences et, en effet, toutes d’autres disciplines.
Finalement, sur ce sujet je me pose deux questions, d’une part Qu’est-ce qui passe dans une société où le champ scientifique ne se mêle pas dans les affaires civiques? D’autre part, Aujourd’hui, on donne assez participation à la science dans la résolution de problèmes sociaux?
REFERENCES
Vincent,
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