LE HORLA CAS
Par Plum05 • 14 Mars 2018 • 2 448 Mots (10 Pages) • 572 Vues
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6 août : Il se promène à 2h dans son parterre de rosée dans l’allée des rosiers d’automnes qui commencent à fleurir puis il resta figer devant 3 magnifique roses et tout d’un coup ta tige d’une de ces roses se plia ,comme si une main invisible l’eût tordue, puis se casser , comme si cette main l’eut cueillie , puis elle s’éleva suivant une courbe qu’aurait décrite un bras en la portant vers une bouche elle resta immobile dans l’air à trois pas de ces yeux . Comme il ne savait pas quoi faire il se jeta dessus pour la saisir mais elle disparut et il s’énerva contre lui-même car il dit qu’un homme comme lui ne peut pas avoir autant d’hallucinations. Pour savoir si c’était une hallucination il rechercha la tige et la retrouve brisé entre les 2 autres roses. Il rentra chez lui sûr qu’un être invisible (qui se nourrit de lait et de l’eau, qui peut toucher, déplacer, prendre des choses..) habitait sous son toit.
7 août : Cette nuit-là il dormi tranquillement, l’être invisible a juste bu l’eau de sa carafe mais n’a pas troublé son sommeil. Il se demande si il est fou, se posait plein de questions à ce sujet au soleil le long de la rivière, réfléchissaient à ces doutes, au fou qu’il a connu. Il était sûr qu’il était devenu fou. Le paysage sui l’entourait était magnifique mais peu à peu un malaise le pénétrait, l’arrêtait, l’empêchant d’aller en arrière, quelque chose quelqu’un qui le rappelait en arrière. Il éprouvait un besoin douloureux de rentrer et avait le pressentiment d’avoir une mauvaise nouvelle, une lettre ou une dépêche chez lui. Il n’y avait rien et il eut de nouveau quelque vision.
8 août : Il passa une soirée affreuse, l’être ne se manifeste te plus mais il le sens près de lui qui le regardait qui signale par des phénomènes surnaturels sa présence invisible et constante. Mais il dormit quand même.
9 août : Rien mais il a peur
10 août : Rien
11 août : Toujours rien, mais il ne peut plus rester chez lui avec cette crainte et pensée entrées dans son âme, il va donc partir
12 août, 10 heures du soir : Il voulut partir mais ne pouvait pas pourquoi ?
13 août : Toute volonté semble l’avoir abandonné, il n’a plus aucune force ni aucun courage. Il ne fait plus qu’obéir et l’être veut pour lui.
14 août : Il est perdu ! Son âme est contrôlé par cet être, toutes ses pensée mouvement et actes sont ordonnés par lui, il veut s’en sortir mais ne peut pas, il reste assis dans son fauteuil et tout d’un coup il faut qu’il aille cueillir des fraises et les mangez, et il y va, il demande à Dieu de le sauver.
15 août : Il comprit qu’il est possédé et dominé comme sa cousine l’avait été après la séance d’hypnose .Il n’a jamais lu ce qui se passe chez lui en ce moment, il veut fuir !
16 août : Aujourd’hui il put s’échapper pendant 2 h, il se sentait libre. Il alla à Rouen, s’arrêta à la bibliothèque, emprunta le grand traité du Docteur Hermann Herestauss sur les habitants inconnus du monde antique et moderne. Puis sortit de la bibliothèque, il voulut dire à la gare mais l’être l’avait retrouvé et du dire à la maison !
17 août : Il lit en intégralité le livre, sans y trouver un cas correspondant au sien en une nuit jusqu’à 1h du matin puis il alla au bord de sa fenêtre se rafraichir le front et sa pensée au vent calme de l’obscurité. Il dormit 40 minutes et quand il se leva il lui sembla qu’une page de son livre ouvert sur sa table venait de tourner toute seule, pourtant il n’y avait aucun air qui serait rentré par la fenêtre, puis 4 min après une autre page se soulevé puis se rabattre comme si un doigt l’eut feuilleter, il n’y avait personne sur mon fauteuil mais quelqu’un lisait. Il sauta sur l’être qui lisait pour le tuer mais l’être s’enfuyait, la fenêtre se ferma et sa lampe tomba, l’être avait peur de lui !
18 août : Il décida d’obéir à l’être mais un jour il se vengera !
19 août : Le lendemain, il apprend dans une publication scientifique (la revue du monde scientifique) qu’une épidémie de folie identique à la sienne sévit au Brésil. Se souvenant que sa maladie apparut le lendemain du jour où il vit le trois-mâts brésilien traverser la Seine, le narrateur fait immédiatement le lien. Il appela cet être le Horla. Il voulut tuer le Horla il fit semblant d’écrire grande attention savant que le Horla viendrai voir ce qu’il écrira, le Horla arriva il voulut l’attraper mais tomba par terre et regarda dans le miroir de son mais n’y vit pas son reflet, il était affolé et tout d’un coup une brume apparaissait dans le miroir et il put distinguer complètement le Horla. Ayant réussi à percevoir sa présence dans un miroir, il décide de tuer le Horla.
20 août : Il se demande comment tuer le Horla.
21 août : Il fait venir un serrurier pour des persiennes et une porte en fer dans sa chambre !
11 septembre : Hier , le serrurier posa sa persienne et sa porte de fer, il laissa ouvert toute la nuit pour que le Horla entre dans la maison, après avoir enfermer le Horla dans une pièce ( la chambre) où il ne pourrait pas sortir il mit le feu à la maison ( en versant de l’huile sur le tapis) et alla se cacher au fond du jardin dans un massif de lauriers , ce fut long , puis tout d’un cou n cri de femme se fit venir de la maison , il avait oublié les domestiques ! Il partit donc chercher de l’aide au village mais quand il fut revenu la maison n’était plus qu’un bucher ! Ses domestiques sont morts brûlés vifs, mais il pense que la nature surhumaine du Horla lui a permis de survivre aux flammes. Il se persuade que le seul moyen de s’en libérer est de se tuer lui.
-Le nom de Horla vient de « herr » : monsieur et « aus » ; hors, dehors, ceci est l’équivalent de Horla dans une allemande fantaisie
-Il s'agit d'un récit qui se présente sous la forme d'un journal intime. L'auteur y raconte ce qui lui est arrivé en quelques mois, c'est à dire une série d'évènements fantastiques et horrible qui ont complètement bouleversé sa vie. Le commencement a lieu alors qu'il se repose dans sa maison de campagne au bord de la Seine. Brusquement, il se sent malade avec une assez forte fièvre et un malaise continu. Son docteur consulté ne trouve rien d'inquiétant et lui
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