Exercices sur la phrase.
Par Ramy • 22 Mai 2018 • 1 094 Mots (5 Pages) • 463 Vues
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Exercice n°3 : Raconter un combat entre un chevalier et un énorme lion. Vous emploierez les reprises nominales suivantes : le courageux jeune homme, notre héros, la bête écumante, le monstre.
- Etape 4 : Employer des synonymes.
Rappel : Deux synonymes sont deux mots de même sens ou de sens très proche.
Exercice n°1 : Les mots en gras appartiennent au langage familier ou sont incorrects. Remplacez-les par un synonyme plus soutenue ou une tournure correcte.
- Le dimanche, quand il fait beau, nous allons nous balader ………………dans la forêt.
- Ne te vexe pas, c’était juste pour rigoler…………………….
- Si ma mère voit tout ce bazar……………………, elle va nous engueuler……………..
- Il a été ……………………….chez Gaston mais il a pas pu……………………le voir.
Exercice n°2 : Trouve un synonyme du mot en gras selon le sens avec lequel il est employé.
- La grande …………………..muraille s’étendait à perte de vue.
- Sindbad entra dans un grand………………..salon orné de vas précieux et de tapis multicolores.
- Le forgeron leva ses bras gros………………… et luisants.
- La jeune fille trainait derrière elle une grosse …………..valise.
- Je suis très content……………….de ton travail.
- La demoiselle qui appelait à l’aide fut fort contente……………… de voir entrer le chevalier.
Exercice n°3 : Relie chaque verbe au sentiment qu’il exprime.
Déplorer joie
Se réjouir de tristesse
S’étonner de peur
Appréhender surprise
Exercice n°4 : Remplace chaque verbe en gras par un verbe plus expressif.
- Harry Potter se dirigea vers la table et prit le manuscrit qu’il regarda attentivement.
- Bilbo descendit l’escalier et rentra dans le couloir.
- Pour conclure : imaginer la suite d’un poème
- Lisez le début de ce poème en repérant la disposition des rimes.
Qui va si tard dans la nuit et le vent ?
C'est le père à cheval avec l'enfant.
Il tient son garçon serré comme il faut,
Au creux de ses bras pour qu'il soit au chaud.
« Mon fils, tu te caches. Mon fils, que crains-tu ? »
« Le Roi des Aulnes, Père, le vois-tu,
Avec son manteau, avec sa couronne ? »
« Ce n'est, mon fils, qu'un brouillard qui frissonne. »
Goethe, Le Roi des Aulnes
- Imaginez la fin du poème (deux ou trois strophes).
Astuce : Tu peux commencer par le vers suivant « Mon Père, mon Père ! N’entends-tu pas ? »
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