En quoi peut on dire que Marguerite Duras manifeste dans Un barrage contre le Pacifique une « vive sensibilité à l’égard de tous les opprimés, de toutes les oppressions »
Par Ninoka • 24 Avril 2018 • 1 221 Mots (5 Pages) • 1 273 Vues
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A l’intérieure de la plaine, la misère y était constamment présente. Dans son roman Marguerite Duras développait une véritable compassion pour ses enfants qui étaient destinés a mourir jeunes. Dans son récit elle parlait des enfants sans les individualiser, c'était une masse d'enfants indifférenciés ; avec des parents indifférenciés. La famille de Suzanne avait un regard de pitié sur ces enfants. Ces enfants, étaient les « représentants » de la misère ; ils étaient quasiment nus, affamait et en masse. L'absence de vêtements chez les enfants de moins de douze et le peu de vêtements qu'ils avaient après douze ans, si ils avaient survécu jusque la, s'explique par la chaleur mais avant tout par la misère. Les femmes nourrissaient leurs enfants bouche a bouche en prémâchant le riz, cette coutumes qu'elles avaient provoquait une réaction de dégoûts chez les blancs. Les poux sont un autres signe de la misère, les enfants se fessaient raser la tête pour éviter leurs invasion. La faim éternelle qu'ils éprouvaient, l'impatience qu'ils avaient devant ces mangues vertes les conduisaient à leurs mort. L’existence de ces enfants étaient marquer par le jeu et la mort ; il ne cessaient de jouer que pour aller mourir. La mort de ces enfants n'affectait plus les parents cette forte mortalité infantile avait créer l'habitude d'une insensibilité ; aucune sépulture n’était organiser ils étaient enterrer le corps encore chaud pour éviter la prolifération de poux. Tous cela était un cycle les parent fessaient des enfants en masse et ils en mourraient en masse. Et ils ne pouvaient rien faire devant la loi de la nature. Les enfants sont ce qui souffrent le plus de la misère mais les parents aussi en souffrent dans ce roman. Ils étaient exploités par les blancs plus riches, dans le but de pouvoir vivre ; il travaillaient dans des exploitations et en mourraient même parfois.
Il ne faut pas oublier que ce roman est autobiographique, et que Marguerite Duras a vécu cette époque ; elle nous livre un témoignage, un peu romancée, de ce qu’était une colonie française à cette époque. Tout au long de son roman elle critique le système coloniale et toutes ces injustice. Dans son roman elle manifeste une vive sensibilité a l'égard de tous le opprimés. Elle a effet développait une compassion en vers la mère, qui mène une révolte obstinée, immense et totale contre la mer, c’est-à-dire contre la nature dont la puissance fait ressortir l'impuissance de l’être humain; et contre le système coloniale, en vers ces parent dont l'insensibilité marque en réalités leur soumission face au loi de la nature. Ce roman est aussi un roman d'apprentissage ou l'on voit Suzanne passée d'une enfant a une femme qui découvre la séduction et le pouvoir de son charme sur les hommes.
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