Elaborer une revue de presse f2

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également le Manager Marc Massa ainsi que le directeur de la communication. Le stagiaire de cette entreprise fait naturellement partie de l’équipe. Il est amené à « coordonner » cette mission.

En effet, en règle géneral, un assistant bien formé joue un rôle majeur dans a gestion de l’information.

Cependant, pour éviter amateurisme, un périmètre de travail pour le stagiaire est élaboré. Ainsi, certaine mission seront éllaborer en collaboration et sous la direction d’autres salariés.

Tout d’abord, l’équipe réalise une veille informationnelle (1ère étape). En effet, après l’arrivée des différents journaux, chaque membre de l’équipe lit les différents titres, chapeaux, sous-titres,…afin de sélectionner les articles parlant de l’entreprise et de son activité économique ( : hausse des cours du pétrole, les articles qui touchent à l’industrie pétrolière, les gros clients comme Peugeot,…). Bien que cela ne soit pas précisé, le stagiaire est probablement associé à cette étape notamment au vue de ses supposés bonnes capacités professionnelles. Cependant, il ne réalise pas cette étape en autonomie.

Ensuite, toujours en collaboration avec les membres de l’équipe, il hiérarchise et structure les informations intéressantes et pertinentes en trouvant des titres pertinents, en synthétisant les articles trop longs. Mais, c’est à l’étape suivante que les réelles missions du stagiaire commence (avec la valorisation de l’information).

Il doit en effet, dans cette étape de valorisation, s’occuper de la présentation de la présentation de la revue avec la création de la première page qui permet d’identifier le document. Cette page précise le titre « revue de presse n°… du… ». En ce qui concerne les indicateurs du jour (tel que les cours de l’action,…), ils sont présentés sous forme de tableaux et graphiques. D’ailleurs, pour faciliter la présentation de la revue, l’assistant peut proposer une maquette qui servira de modèle dans la confection de la revue.

Ensuite, une autre de ses missions essentielles consiste en l’activité de « copier-coller » les différents articles sélectionnés sur feuille A4 et d’indiquer les sources à la main.

Puis, il est chargé de photocopier les articles en une dizaine d’exemplaire (dans un premier temps). Il remet ensuite sont travail au service reprographie pour une reprographie complète, avant de diffuser les revues dans les différents services.

En conclusion, le stagiaire est associé à de nombreuses étapes qu’il réalise, pour certaine, à l’aide de ses supérieurs et pour d’autre, en total autonomie.

4- L’entreprise Barilor a basé son choix de revue de presse sur plusieurs critères :

- Critère juridique. En effet, selon l’entreprise, il y a un « flou juridique » pour le calcul de la redevance. Dans une revue papier, on se base concrètement sur le nombre d’exemplaires établie lors de la signature du contrat avec le CFC. C’est-à-dire, au sein de cette entreprise 300 exemplaires de 10 pages. On est donc sur un critère quantifiable et tangible.

De plus, en restant sur le critère juridique, la loi de protection des œuvres pour la revue électronique n’a pas assez évolué.

Or, selon le Manager, dans une revue en ligne, la redevance doit tenir compte entre autre, du nombre de postes qui ont accès au panorama de presse. Or, l’intégralité des salariés ne lise pas la revue. Ainsi ? Cela crée des coûts supplémentaires. On est donc également sur un critère économique.

Nous ne sommes pas totalement en accord avec les arguments du manager. En effet, le calcul de la redevance totale annuelle (pour une revue de presse en ligne) tient compte : du nombre de postes qui ont accès au panorama de presse. Ainsi, le Manager peut sélectionner exactement le nombre de poste qui ont besoin de lire la revue et donc peut choisir de ne pas le diffuser à tous les postes.

Aussi, même si le Manager énonce faire des économies en évitant des coûts supplémentaires (avec la redevance de la revue papier), il cause tout de même de nombreuses perte : il doit imprimer de nombreuses pages et perd un temps précieux à le distribuer aux différents services. A contrario, une diffusion par voie électronique est instantanée.