Cas pinocchio
Par Ramy • 12 Septembre 2018 • 1 649 Mots (7 Pages) • 534 Vues
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C’est aussi un facteur de motivation pour les employés qui, grâce à la formation reçue sont plus à même de développer leur potentiel et de faire preuve d’innovation. L’efficacité au travail s’en ressent et l’employé, en ayant ses connaissances à jour, mettra sans aucun doute moins de temps à réaliser une tâche et aura certainement une plus grande facilité dans le travail.
L’investissement dans la connaissance est donc un facteur de développement pour l’entreprise. Cette dernière a le choix entre dispenser cette formation en interne ou en externe. Une formation peut être effectuée à travers des séminaires et d’autres types de réunions. L’entreprise est en effet en elle-même, un lieu d’apprentissage mais des sessions de mise à niveau peuvent parfois être nécessaires. Lorsqu’elle choisit un lieu externe pour y dispenser des connaissances à ses employés, elle peut louer une salle pour l’organisation d’une formation.Celle-ci doit être adaptée à ses besoins et être facilement accessible.
Bref, offrir un enseignement adéquat à ses salariés ne peut être qu’un atout pour l’organisation. Elle s’offre ainsi, un personnel qualifié qui n’a pas besoin d’être sans cesse supervisé. De plus, ses employés pourront assurer la relève lorsque certains collaborateurs devront partir à la retraite par exemple.
Un autre point très important que Geppetto a mentionné est c’est son sentiment de dépendance envers ces employés, ceci revient bien évidemment au fait que son entreprise ne dispose que de deux employés, l’un est très doué dans son travail mais évoque des problèmes de comportement et l’autre est bien motivé mais manque toujours de compétences et d’expérience, d’ailleurs Un employé motivé qui ne peut se mobiliser dans l’action, parce qu’il ne sent pas l’intérêt de son employeur à ce qu’il le fasse, constitue un important potentiel mal utilisé, en effet Un grand nombre de pratiques de gestion mobilisatrices ont été rassemblées en une typologie que des chercheurs [1] ont appelé les « leviers de mobilisation », soit le partage de l'information, l'adhésion,l'appropriation et la reconnaissance. Les dirigeants d’entreprise et les praticiens de la gestion des ressources humaines peuvent utiliser ces leviers comme des axes pour l’établissement de stratégies de direction des personnes.
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Il faut aussi noter que l’établissement d’un bon climat serein au sein de l’entreprise t joue un rôle prépondérant dans la performance et le succès d’une entreprise et il représente en quelque sorte pour celle-ci l’indice de sa « santé organisationnelle » , ainsi Pour les employés, un bon climat de travail améliore leur satisfaction et leur sentiment de bonheur au travail. Il limite leur stress et améliore leur moral. Il influence aussi leur bon comportement au travail, leur motivation et leur façon de communiquer entre eux. Il encourage chez eux la créativité, l’innovation et la prise de risque et suscite même leur engagement au niveau d’efforts allant au-delà de leurs attentes professionnelles. Sur ce point on peut se référer au modèle de Thomas, en effet La méthode Thomas-Kilmann en situation de conflit aide les individus à résoudre leurs conflits interpersonnels et à mieux concentrer leur énergie sur l’atteinte des objectifs communs et des résultats d’entreprise. Les individus pourront mieux identifier leur méthode préférée pour traiter avec des conflits, et apprendre des moyens appropriés pour une approche plus efficace des conflits avec les autres. Réduisez le stress au sein de votre organisation en adressant les problèmes relationnels, tout en améliorant la productivité et la performance dans votre organisation. Le modèle de Thomas se caractérise par cinq comportements :
1.Évitement : Absence d’implication dans une situation conflictuelle
2.Accommodation : Appelée aussi résignation, et désir de satisfaire les intérêts de l’autre et ce, même au détriment de ses propres besoins
3.Compromis : Chacun gagne, chacun perd plus ou moins
4.Confrontation : Obtenir gain de cause en dépit des intérêts de l’autre
5.Collaboration : Préoccupation du gain mutuel
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