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Cas Gildan - DSR

Par   •  25 Septembre 2018  •  2 669 Mots (11 Pages)  •  538 Vues

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Section 2

- Selon la cartographie, les parties prenantes de la compagnie Gildan peuvent s’identifier facilement : dans les actionnaires il y a les investisseurs comme la FTQ et ISS. Dans la section client, on retrouve les fournisseurs comme Nike et les concurrents comme Reebok. De plus, dans la partie prenante comme les employés on retrouve l’injustice féminine ainsi que les droits humains de Gildan. La communauté et aussi une partie prenante de Gildan, car grâce à sa responsabilité sociale elle a été en mesure de réduire la pauvreté dans plusieurs pays en développement.

- Tout d’abord, la première partie prenante de Gildan correspond aux employés au Honduras. Premièrement, les employés de Gildan au Honduras on l’urgence car ils ont besoin de se faire entendre rapidement, et leur situation est urgente. Il se sont retrouvés du jour au lendemain sans travail et donc sans rémunération. Ils ont besoin de se faire entendre par des organismes importants et qui ont le pouvoir de retranscrire leur parole et d’avoir une portée internationale. De plus, ces dénonciations relèvent de l’injustice et c’est fondamental et urgent pour ses employés de faire remonter l’information tout comme les conditions de travail qu’ils subissent. Néanmoins, les employés ont aussi la légitimité. En effet, il est tout à fait normal de se plaindre auprès de ces organismes. Tout employé devrait avoir le droit de créer un syndicat et leur demande est complètement légitime. Les employés ont donc comme attribut la dépendance.

La deuxième partie prenante est l’organisme Maquillas Solidarity Network, ils ont obligé Gildan à prendre des actions rapide et concrète comme par exemple de réembaucher les employés congédier en novembre 2002 et adhérer à la norme SA8000, nous pouvons donc dire que l’organisme a un certain pouvoir sur l’entreprise Gildan et surtout quant aux actions sur son entreprise au Honduras. De plus nous pouvons aussi dire que l’organisme à l’urgence puisque celui ne flanche pas et réitère ses accusations jusqu’à que l’entreprise coopère. MSN veut que l’entreprise agisse vite donc l’urgence fait partie de ses attributs. Enfin l’organisme est aussi légitime puisque il a le droit de vouloir rétablir la vérité pour aider ces employés licenciés injustement et mettre en place un système juste. Il est légitime de vouloir de la transparence de la part de l’entreprise. Cette partie prenante a donc un impact définitif sur Gildan en l’obligeant à agir le plus vite possible.

La troisième partie prenante de Gildan est le Fond de Solidarité. On peut constater dans le texte que la FTQ a beaucoup de pouvoir sur Gildan quand elle le menace de vendre les 11.2 % d’actions détenues chez Gildan si cette dernière ne coopérait pas pour régler le problème des 38 licenciements dans l’une des usines du Honduras en novembre 2002. De plus, après avoir conclu qu’il y a eu licenciement pour cause d’activité syndical la FTQ dit que pour un fonds éthique comme le nôtre c’est inacceptable et c’est la première fois en vingt ans qu’une telle situations leurs arrives. Donc, a cause de leurs légitimité et l’impossibilité d’arriver à un accord avec Gildan, la FTQ décide de vendre de façon ordonnées la totalité de leurs investissement chez Gildan soit 2.5 millions d’actions. Cette partie prenante est donc dominante.

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