Analyse de pratique en SSR pneumologie

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Analyse : recherche de connaissances appropriées, propositions d’hypothèses…

Nous allons dans un premier temps, nous allons définir le stress, d’après le site psychlogies.com, « le stress a été défini comme une réponse physiologique de l'organisme à une situation épuisante, dangereuse ou angoissante. Le corps produit alors des hormones spécifiques. Cette notion a été ultérieurement étendue à tout état de perturbation provoqué par la confrontation avec un danger, une menace physique ou psychique, un environnement difficile. On parle du stress d'un examen, d'une rupture sentimentale, d'une compétition, d'un accident, du bruit ou de la pollution. A priori, cet état n'a rien de pathologique ».

Dans cette situation, quels sont les outils que nous pouvons mettre en place pour réussir à gérer son stress ?

Le patient étant dyspnéique, nous l’avons installé assis au bord du lit avec les bras sur l’adaptable. Nous lui avons fait un aérosol, et pendant ce temps l’interne du service a prescris un bilan sang et un gaz du sang. Nous préparons le matériel et allons dans la chambre du patient. L’interne effectue le gaz du sang et l’infirmière la prise sang. L’interne demande plus d’examen pour le bilan sang, du coup je vais chercher le matériel qui manque et reviens dans la chambre. L’infirmière me propose de faire la seconde prise de sang, accepte mais ne me sent pas alaise pour la faire. Ayant trop de monde dans la chambre, je ne peux pas m’installer correctement pour faire ma prise de sang. Je me retrouve debout face au patient coincé entre le mur, le tensiomètre et l’infirmière. Ne pouvant m’assoir, je me penche vers le patient pour effectuer ma prise de sang. Je commence par préparer le matériel dans le plateau, puis je mets le garrot au niveau de l’avant-bras du patient et m’apprête à le piquer. Je me concentre sur la veine et essaye de faire abstraction du mouvement qui se fait autour de moi mais n’y arrive pas. Je pique le patient, je ne vois pas de reflux dans la tubulure de l’aiguille mais tente tout de même avec un tube. Voyant qu’il n’y pas de sang qui vient, j’en déduit que je ne suis pas dans la veine. L’infirmière me dit que ce n’est pas grave et que l’équipe de réanimation vient de lui dire que ce n’étais pas la peine de recommencer puisque le patient aura une prise de sang arrivée dans le service de réanimation.

Lorsque je m’apprêtais à piquer le patient, j’aurais dû prendre mon temps, me mettre dans de bonne condition pour effectuer cette prise de sang. Il y avait du monde dans la chambre et je n’ai pas réussi à faire le vide autour de moi pour me concentrer que sur mon soin. Lors de cette situation d’urgence, je ne pas su gérer mon stress.

Dans mes prochains stages, lorsque je serais confrontée à ce type de situation, je prendrais mon temps mais en sachant qu’il y a urgence pour effectuer les soins nécessaires au patient. Il faudra aussi que j’apprenne a maitrisé mon stress.

Pour apprendre à maitriser son stress, il existe différents exercices simple et rapide à mettre en pratique avant une situation compliquée. Nous pouvons contrôler le stress en nous concentrant sur notre respiration ou en se massant certaines zones de notre corps comme le visage ou les paumes de mains pour évacuer le stress accumulé.

Source bibliographique :

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Stress

http://www.psychologies.com/Bien-etre/Stress/Gestion-du-stress/Articles-et-Dossiers/9-exercices-pour-faire-face-aux-attaques-de-stress