Kurar, l'art urbain et engagement
Par Ramy • 29 Septembre 2018 • 2 340 Mots (10 Pages) • 718 Vues
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De la relation néfaste de l’homme avec la nature en découle naturellement des conflits entre lui et son espèce. Que ce soit pour un bien, une possession, une envie l’être humain ne va pas changer facilement de ligne de conduite. On peut penser que sa dangereuse liaison avec la nature est la même que la relation des hommes entre eux. Jr (jean rené) photographe français c’est intéressé à la relation des hommes. En essayant de les confronter malgré leur différence quel soit religieux ou sociétale. Entre 2004 et 2006 il à réalisé des portraits d’une génération de jeune de banlieue qu’il à exposé en très grand format dans les quartiers bourgeois de paris, ou encore en 20007 il réalise l’exposition illégale « Face to face » en affichant d’immenses portraits d’israéliens et de palestiniens face à face dans 8 villes palestiniennes et israéliennes part et d’autre des barrière de sécurités.
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A travers son travail jr tout comme kurar impose sa vision dans les rues pour quelle soit comprise de tous. En confrontant directement l’être humain avec la réalité de la discrimination, lui aussi exprime l’incapacité de l’homme à vivre dans le respect du monde qui l’avoisine. Que ce soit dans une dynamique écologique ou humaine on répète toujours les même maux. Comment ce fait il que l’on finisse toujours par crée du dénie envers quelque chose que l’on ne maitrise, ne connait pas. Par exemple en Europe pendant le 20 ème siècle il y à eu de la xénophobie par rapport à la population juif aujourd’hui cela à changer mais c’est la population musulmane qui est touché actuellement. Le tableau « somebody to save people » de kurar exprime clairement que malgré notre histoire, connaissance, répétition l’on finit toujours par revenir au même problème. Cette représentation d’un enfant arrosant un champignon atomique démontre clairement, que les méfaits planétaires sont dus à l’arrosage perpétuel de problème que l’on ne veut pas changer. Que ce soit dans la guerre, la mauvaise répartition des richesses ou encore la surexploitation de la planète l’homme joue avec le feu, voir enrichie les désaccords.
Le street artiste brésilien Will Ferreira à tourner son travail plastique autour de la sculpture et la peinture. Il utilise dans la plupart de ses œuvres un personnage nommé hibrido (une sorte de robot chevalier masqué à l’allure médiévale, qui évolue dans notre monde moderne cerné par l’acier et les machines. Will ferreira dénonce le fait que l'être humain envahit tout et devient un être programmé, voulant surpasser sa vie d'humain, n'ayant que la capacité des développements technologiques, retirant la vie et la remplaçant par des machines, jusqu'à dans son habitat, défigurant nos personnalités, défigurant notre planète avec cette soif de pouvoir et cet égo surdimensionné. Le travail de will ferreira relate exactement le problème contemporain de l’homme. Nous nous croyons plus fort que la nature, que les éléments. L’homme arrive désormais à ce modifié (chirurgie esthétique) et à crée des subalternes de toute pièce (robot, évolution de la génétique). Toutes ces avancés quelle soit scientifique, technologique, médicale et j’en passe dérègle l’être humain et son sens des préoccupations. Désormais beaucoup de personne issue des pays développé aurait plus tendance à ce préoccuper de leur apparence ou au nouveau gadget électronique plutôt que d’aller aidé les miséreux dans la rue d’à côté de chez soit, ou de faire des actions écologique (comme nettoyer les plages par exemple).[pic 11]
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L’œuvre « somebody to save people » de l’artiste Français Kurar dénonce plusieurs champs de notre mode de vie (écologie, relations humaines). Il nous démontre que malgré nos avancées technologiques et évolution sur la connaissance de notre monde les mêmes erreurs se répètent, voir son directement abreuvées par notre façon d’exister. La facilité de pouvoir avoir des biens, de manger facilement, l’accès au produit manufacturé, les nouvelles technologies nous détache chaque jour d’un changement radical dans notre façon de percevoir l’avenir et de modifier notre mode de vie. L’accès quasi infini à n’importe quel bien de consommation, nous fait oublier que la terre et la nature était là bien avant nous. Nous devons la protéger et avoir conscience que le non respect que nous lui procurons est similaire à celui du non respect de l’être humain envers son prochain. Le monde arrive à un tournant qu’il soit dans son mode de vie que dans ses choix idéologique. Actuellement nous constatons une montée nationaliste un peu partout dans le monde, surtout dans les pays développé. Des choix important vont arriver. Que voulons-nous ? Répéter les mêmes maux ou aller de l’avant contre la tyrannie des technocrates, des industrielles et des fachos pour un monde meilleur. La protection de la terre se fera si l’homme arrive à se protéger lui-même de ses imbécilités. Ne nous avons pas vaincu et continuons de dénoncer, de s’insurger et de se battre contre une dynamique égocentrique ou seul notre hédonisme perpétuelle triomphe.
Quelques œuvres de Kurar :[pic 14][pic 15][pic 16][pic 17][pic 18][pic 19]
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