Philosophie : Analyse Hippias Majeur
Par Matt • 29 Janvier 2018 • 1 995 Mots (8 Pages) • 971 Vues
...
Qu'est-ce que le beau ?
Opposition entre Socarte et Hippias : Socrate oppose
sa propre ignorance à l’omniscience d’Hippias et il
avoue ne passavoir ce qu’est le beau: il demande
donc à Hippias de définir le beau
2)BEAU = OR
-exemple matérialist
-REFUTATION : une sculture en ivoire est aussi belle
-Progrès (inconsient)de la part d'Hippias :notion de convenance
>> refuter par l'absurde
-2ème définition sans concepte d'universel
Socrate exclut du domaine du beau la matière, même la plus précieuse. L’idée que la beauté d’une chose pourrait tenir à son matériau
tombe dans le discrédit.
-
3)BEAU=BELLE VIE
-encore un exemple non universel
-il confond l'universelle et reste au niveau de la DOXA
>> Opinions subjectives
-REFUTATION DE SOCRATE : belle vie, belle mort>>héros mythologiques
-habitude social s'oppose à l'universel
-nouveau progrès : tend vers l'universalité de l'essence
PLAN MORALE = LE BIEN
Ce qui est beau ne veut pas dire la même chose que Ce qu'est le beau
En fin de compte Hippias donne des exemple et ne parveint pas à donner une définition universelle du beau , il définie le beau comme objet du désire et de la jouissance de l'homme : confusion entre beau et agréale , entre le plaisir esthétique et le plaisir des senses .
Socrate va rejetter ses définition doxiques . HPPIAS EST IGNORANT: beau comme l’objet d’une satisfaction désintéressée, l’agréable étant une satisfaction intéressée.
IV)EPILOGUE
Le dialogue s’achève sur un proverbe: les belles choses sont difficiles >>> DIALOGUE APORETIQUE PAS de réponces claires et définitives
NEANMOINS les définitions proposées par Socrate permettent d’explorer le domaine du beau d’une façon complète:
BEAU = HARMONIE ,BIEN ,PLAISIR
BEAU = PROPORTIONS , RELATIONS RATIONELLES , MESURES
BEAU = UTILE ET AVENTAGEUX >>> TEND VERS LE BIEN
BEAU = PLAISIRS AVANTAGEUX >>VUE ET OUIE>>
PLAISIR SENSIBLE INTELECTUEL
BEAU CLASSIQUE = ORDRE
BEAU MORALE = BIEN
BEAU SENSIBLE = PLAISIR AVANTAGEUX OU MORAL
préférence de Socrate pour le beau classqiue , morale et le plasir
Platon et Socrate, : BEAU = REALITE INTELEGIBLE CONTRAIREMENT AUX OPINIONS ET HUMEURS = 2piR
BEAU = VARIABILITE = SUBJECTIF « affaire de goût » personnel ou subjectif, et l’on peuten définir les règles
objectives: l’harmonie et la proportion.
Au terme du dialogue, la définition du beau semble inaccessible :
3 caractères : la causalité , l'univers et l'absolu
Le jugement esthétique: y a-t-il un concept du beau?
18eme siècle : modéle classique du beau: symétrie, ordre , le défini , la proportion, l'harmonie
Accord entre les parties elles même et le tout BEAU DROIT
UNIVERSALITE ET OBJECTIVISME MODEL CLASSQIUE
Après le 18ème siècle : « affaire de goût » : thèse subjectiviste qui s'oppose au classique.
Jugement de connaissances = régles universelles
Le beau n’est que sensible, en ce sens où apprécier le beau, ce n’est pas connaître, car il n’y a pas de concept du beau.
PAS D'UNIVERSALITE DANS LE BEAU = HUME(1751) = “la beauté n’est pas une qualité inhérente aux choses elles-mêmes, elle existe seulement dans l’esprit qui la contemple, et chaque esprit perçoit une beauté différente “
SUBJECTIVITE PROPRE A CHAQU'UN (s'oppose à l'universalité) PLAISIR ESTHETIQUE
Le beau n’exprime pas une qualité des choses
HUME : « le plaisir et la douleur ne sont donc pas seulement les compagnons nécessaires de la beauté et de la laideur, ils en constituent l’essence même »
Le plaisir du beau renvoie d’abord au sujet qui l’éprouve
QUALITE PUREMENT SENSIBLE ET SUBJECTIVE
KANT : (1790 Critique de la faculté de juger), refuse de se laisser enfermer dans cette alternative entre
l’objectivisme rationaliste du beau et le subjectivisme sensible du beau:
il n’ y a pas de concept du beau naturel ou artistique
relativisme :le plaisir esthétique est en droit universel (s'oppose à la subjectivité)
ne saurait se déduire d’un concept.
Il ne saurait non plus se réduire à une simple sensation agréable différente selon les individus.
THESE : « Est beau ce qui plaît universellement sans concept »
«
...