La conscience selon Freud
Par Ramy • 23 Décembre 2017 • 1 340 Mots (6 Pages) • 675 Vues
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Transition : Einstein montre grace à la métaphore de la montre fermée les limites d'une telle vision à la physique. Mais nous verrons que « l'esprit humain » va s'integrer dans la compréhension du monde, est-il pour autant la solution de limite d'une telle vision à la physique ? C'est ce que nous allons montrer.
Dans cette deuxième partie, Einstein va s'impregner du statue de « l'esprit humain », malgrès la difficulté pour l'homme à acceder au monde de la raison. Par cette hypothèse « S'il est ingénieux... », il suppose que l'Homme peut etre « ingénieux » d'esprit, qu'il est capable d'atteindre l'unique imuable vérité, à condition qu'il fasse l'effort d'être contre sa nature, d'être celui qui fait le chemin inverse de celui des autres qui eux, restent dans l'ignorance. Einstein évoque la formation de « l'image du mécanisme » qui selon lui, induit l'ingéniosité de l'esprit de l'Homme à créer une image de ce qui représente l'Idée de la raison. Il induit son imagination une représentation immatérielle supra-sensible, méta-physique : une représentation abstraite et générale de la chose.Cette image, ainsi crée par « l'esprit humain » correspond au mécanisme du monde. Mais, Einstein évoque « il ne sera jamais sur que son image soit la seule capable d'expliquer ses observations », ce qui laisse à laisser penser que cette représentation résultant d'un travail d'esprit, concernant une pluralité, amène à l'incertitude de l'homme face au mécanisme du monde de la raison. En effet, l'Homme peut, par sa propre réflexion, imaginer plusieurs phénomènes d'images possibles, s'influencant du monde extérieur. L'homme ingénieux ne connait pas le « mécanisme réel » et ne peut comparer la réalité du réel.
Transition : Pour comprendre le monde de la raison et son mécanisme, il faut utiliser son esprit ingénieux. Mais, l'incertitude peut parfois s'integrer face aux observations du « monde extérieur ». L'homme ingénieux du monde intelligible, ou comme l'homme du monde sensible sont confrontés à cette étape pour comprendre le monde. Mais qu'en est-il d'Einstein ?
L'auteur travail beaucoup sur le monde extérieur, en analysant les sens chez l'Homme. Il en résulte des ces observations, des « impressions sensibles ». Einstein, par la suite, veut nous expliquerpar ces « créations libres de l'esprit »,qu'il existe une réelles comparaisons entre le « monde extérieur », et le monde de la réalité.
Pour comprendre le monde, il faut la connaissance. Einstein est confronté à « croire », qui est la base de nos connaissance. Pour Eistein, il est necessaire de prendre en compte la réalité extérieure, et les « impressions sensibles » car à plus ses connaissances seront multiples, à plus sa propre image de la réalité sera imprégnée et résulteront de ses impressions sensibles.
Pour comprendre le monde, il faut aussi « croire à l'existance d'une limite idéale de la connaissance ». Pour Einstein, il existe alors une limite qui ne peut se franchir ayant une pointe de perfection, l'amenant à la « vérité objective » cherchant une vérité unique.
Conclusion : Einstein s'oppose à la pensée posotiviste de son temps. Pour lui, la science est descriptive et explicative, et la physique quant a elle est sensorielle et théorique. Il n'y a que dans l'expérience que se trouve la connaissance, mais elle a besoin de concepts et de « créations libre de l'esprit humain » pour etre répendue. Comprendre le monde c'est se donner la possibilité de prendre en compte toute nos expériences de nos sens humains par notre pensée, notre conception créative.
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