La Conscience/L'inconscient
Par Stella0400 • 17 Novembre 2018 • 4 550 Mots (19 Pages) • 680 Vues
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- La connaissance de soi est impossible.
C’est qu’un mensonge= c’est le mensonge des réseaux sociaux, paradoxe du journal intime : la connaissance de soi deviens une obsession aliénante. Plus on prend conscience de soi plus on devient aliéné. S’oppose à une conscience libre. Faut donc sortit d’une obsession pour cela faut accepter le regard des autres. Mais on ne peut pas accepter le regard de l’autre. Si les autres pouvaient nous aider mais leurs arguments= blessants et créent mauvaise foi. Faut renoncer à se connaitre soi-même psychologiquement.[pic 3]
- La connaissance de soi morale
- Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous
La connaissance de soi dépend de nous mais pourquoi ? Car le but de la connaissance de soi ce n’est pas de savoir qui est X, mais de savoir comment être libre, comment rester libre. Se connaitre soi-même c’est de savoir comment être libre. Kantète dit que la force de la conscience c’est d’apprendre et se connaitre soi-même pour être libre. Ex : colère, ce soir je pense : soi je fais une recherche psychologique. Epictète dit que si on réfléchit à la vie on admet que l’on est malheureux car on n’a pas de chance. La conscience sera t à comprendre que même si la vie est malheureuse je garde quand même la liberté de ne pas déterminé par la vie le pouvoir de la conscience est de nous rendre toujours libres. Ce qui chez moi ne pourra j’aimais être déterminé c’est mon caractère et force de volonté. Nous nous donnons un sens à tout. Donner un sens heureux c’est devenir libre.
- La connaissance de la liberté
Courage, travail, générosité. Volonté de ne pas imiter les autres. L’homme libre n’a pas peur selon Spinoza, l’homme libre travaille ! l’homme libre n’a pas peur de vivre, quand on n’a pas peur de vivre et réussir : généreux, on travaille plus : on devient donc généreux avec les autres : on a plus peur de les aider les aimer : on a peur de la peur des autres : idéal moral. Un homme malade peut –il avoir la liberté de choisir ? Un homme malade physiquement a sans doute la liberté de choisir. Mais un homme malade peut-il avoir cette liberté ? Non, la conscience est une faculté qui peut tomber malade et donc si est malade n’a pas les grands. La conscience est une faculté psychologique malade
- L’hypothèse de l’inconscient.
La critique de la conscience.
La connaissance de soi dépend-elle de l’inconscient ?
Quoi qu’il arrive nos idées dépendent de nous. Ce pouvoir c’est ça la liberté. La conscience donc est libre. Sa dépend de nous de corriger nos erreurs de nos idées. Les philosophes dissent qu’il faut apprendre à utiliser cette liberté. On découvre qu’il y a des idées qui nous font peur. (Exemple de parler de la sexualité des parents) on a tous des idées qui nous déragent. Toutes les idées qui ne sont pas baissante on ne peut pas parler. Toutes les idées intimes et baissantes on a tout d’un coup = tabou. La sexualité est un tabou évident. L’argent : aussi, la vie privée : aussi. On découvre qu’il y a des idées que l’on ne maitrise pas. Freud dit ce qui définit la conscience ce n’est pas du tout une idée claire, ce n’est pas la conscience de soi, c’est pas du tout l’évidence. Ça c’est des facultés logiques, ce qui définit la conscience c’est la psychologie, la névrose (maladie.) la conscience est définie par une maladie. La névrose c’est ne pas avoir le control de soi.la névrose c’est l’incapacité à pouvoir faire ou penser quelque chose.
- Les névroses
On découvre une névrose car il y a des idées auxquelles on ne peut pas penser. Il y a des actes qu’on ne peut pas faire. C’est hors de notre contrôle ou pouvoir, si on nous oblige à faire on découvre qu’on perd totalement le contrôle de nous-mêmes. Freud va dire une chose évidente : le moi n’est pas le maitre dans sa maison. C’est notre névrose qui a la pleine maitrise de nous-mêmes. Au cœur de la conscience il y a quelque chose, quelqu’un que j’ignore que je connais pas mais tout d’un coup me fait comprendre que je ne suis pas le maitre de moi. Freud dit que comme il est impossible d’avoir la conscience de la névrose, il est impossible d’avoir conscience de soi. Il n’y a pas de conscience de soi, la névrose nous l’empêche. S’il n’y a pas de conscience, il n’y a pas de conscience réelle, la névrose nous contrôle, on peut donc perdre le contrôle. [pic 4]
- Le refoulement et la résistance
Si nous ne sommes pas maitres de nous, la pensée n’est par gouvernée par la logique, la pensée serait gouvernée par des forces inconsciences. Ces forces inconscientes serraient 2 : une force de refoulement, cette force exclue des idées de notre conscience, on ne sait pas quelles idées. Pourquoi on oublie quelque chose : parce que il y a de refoulement. Ou des idées auxquelles on ne pense pas : résistance : force inconsciente qui interdise ou s’oppose à certaines idées. Sur la base de cette hypothèse, Freud va dire qu’il existe en nous une activité inconsciente dont la conscience ne sait rien : la conscience est-elle une faculté de connaitre ? La conscience de soi ? La conscience et la conscience de soi, ne sont pas de facultés de connaitre, elles ignorent tous les mystères de l’inconscient. Il va falloir développer une méthode de l’exploration de l’inconscient, sinon on sera dominées par la névrose, névroses dont on ne sait rien. Freud nous propose l’hypothèse de l’exploration de la conscience.
- La connaissance de l’inconscient.
La psychanalyse c’est une médicine qui s’est développée au XXème siècle, cette médecine qui a pour principe explorer l’inconscient, il prétend soigner les névroses. Film : A Dangerous method.
- Le ça, le Surmoi et le Moi.
Dans l’inconscient il y a du ça, c’est-à-dire des pulsions, donc des énergies. Ces pulsions ont une obligation. Par exemple des instincts. Il y a également le surmoi : le Surmoi il censure des pulsions, l’inconscience c’est un champ de bataille entre les pulsions qui défendent et le sur moi qui censure. Comme il n’y a pas de logique, nous n’avons pas tous les mêmes maladies. Nous avons ce combat entre le ça et le sur moi. L’origine de notre névrose c’est le
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