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Dissertation de terminal, "Qui suis-je?"

Par   •  19 Décembre 2017  •  1 833 Mots (8 Pages)  •  864 Vues

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Descartes dit : « Je pense donc je suis ». Si nous acceptons et croyons-le faite que penser est d’écouter nos sentiments, alors nous pouvons répondre à la question  « qui suis-je ?» en décodant tous les sentiments qui nous ont traverses au file des années. Les sentiments forgent ce que nous sommes. Accepter, suivre et exprimer nos sentiments c’est parfois les sacraliser et s’interdire de changer, mais ne pas changer est quasiment impossible. Alors devrions-nous vraiment nous forger de nos sentiments ? A partir du moment où nous pensons, nous sommes une pleine personne humaine. Chaque personne à ça manière de penser, Socrate, par exemple, pense qu’il est un grand homme et que personne ne peut le contester. Il décentre le problème, contrairement à Descartes, il cherche à avoir des grandes réponses rapidement. Descartes, lui, est prudent, il tente de renouveler le savoir avec une méthode et non pas avec de grand hommes, il préfère avoir de petits résultats et avec une accumulation successive, on obtiendra de grandes réponses. Nous sommes uniques, nous ne pouvons rien déduire d’une nouvelle personne car nous sommes tous différents, si nous basons notre théorie sur un seul moment unique d’une personne, nous ne pouvons pas dire que nous la connaissons car nous l’avons vu dans un moment unique. Le moment unique suivant sera toujours différent et tout ce que je pensais savoir sur cette personne s’effondre. Sachant que nous sommes présent en nous dès notre naissance et pour chaque seconde à venir, nous avons fait une accumulation de moment unique qui nous permettent de déduire que nous nous connaissons, nous savons qui est notre moi intérieur, seul nous même pouvons répondre à cette question.

La façon dont je me perçois est, dans la plupart du temps complètement différente de la façon dont les gens autour de moi me voient. Ces gens la ne me connaissent pas et ne savent pas qui je suis car ils ont seulement aperçu quelques moments uniques dans ma vie. Avec ceci, ils ne peuvent pas me définir.

D’après la théorie de Rousseau, on peut distinguer trois périodes. La première des trois est celle des temps primitifs, ce qui signifie que les hommes vivent seuls sans avoir besoin de la société. La deuxième est celle de l’âge d’or, c’est l’épanouissement des sentiments et de la coopération, la naissance de l’égalité. La dernière théorie est celle de l’âge dégradé actuel, cela signifie que l’image publique commence à compter, le désir de posséder est de plus en plus fort et donc les inégalités sont présentes. L’inégalité entraine le malheur, nous nous rendons donc compte que la vie d’aujourd’hui n’est plus aussi heureuse que ce qu’elle à pu être avant. Seulement qui suis-je parmi c’est trois catégorie ? Suis-je automatiquement reliée à l’une d’entre elles ?

Chaque sentiment que j’éprouve est unique et il me distingue d’autrui. Seulement mes sentiments changent, alors selon eux, ma personnalité change-t-elle aussi ? Si l’on suit le raisonnement de Rousseau, les sentiments troubles l’accès à la vérité, donc cela signifie que je me cache à moi-même ma propre vérité. Alors qui suis-je réellement si je me cache depuis déjà longtemps ce que je ne devrais pas savoir sur moi ? Par déduction je reste la même que celle que j’ai toujours cru être. Si on suit toujours Rousseau, la société actuelle cherche à contrôler nos sentiments, seulement la société reflète nos sentiments, alors cela signifie que nos sentiments cherches à contrôler nos propres sentiments.

Le sentiment est comme l’expression de notre « moi » profond. « Sois toi-même » reviens à dire écoute tes sentiments profond. Il ne faut pas forcement suivre et exprimer tous ces sentiments car être sincère et franc, par exemple, ne nous donne pas non plus le droit d’être méchant. Il faut savoir se respecter soi-même et respecter notre entourage. Le sentiment est important, c’est ce qui nous fait être humain, il nous oppose au robot.

Deux théories qui s’opposent s’offres à nous. La première est celle qui dit que : Premièrement, mes sentiments expriment ma personnalité profonde. Deuxièmement, Les sentiments ne trompe pas, ils résistent au « conditionnement social ». Troisièmement, Les rapports humains sincères sont préférables aux rapports humains hypocrites. Et pour finir, les sentiments exprimes ma nature et sont des guides vers le bonheur. La deuxième théorie est faite de quatre autres parties : Premièrement, la sincérité peut devenir blessante. Deuxièmement, les sentiments ne sont pas toujours fiables. Troisièmement, ma nature n’est peut-être pas la bonne. Et quatrièmement, la spontanéité peut révéler une seconde nature, déplacée en moi par la société.

En conclusion, nous pouvons dire que répondre à la question: "Qui suis-je ?" n’est pas des plus simples. Grâce aux grand hommes comme Rousseau, Socrate, Descartes, Aristote ou encore Freud, et grâce aux méthodes et aux théories qu’ils établissent, nous pouvons réfléchir plus facilement et en profondeur sur notre moi intérieur. A partir de notre naissance, nous nous forgeons grâce à nos actes conscients, tout comme inconscient. Nous suivons tous nos moments uniques qui font de nous ce que nous sommes. Nous changeons au fil des années dans notre caractère mais aussi dans notre physique, seulement nous ne nous perdons pas car nous sommes toujours rester nous même au fond de nous. Même si la science pourrait me dire ce que je suis, elle ne pourrait pas me dire QUI je suis à l’intérieur de moi. Je suis, ce que je sais de moi, et savoir est

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