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Cours notion 6 : La société et les échanges

Par   •  26 Septembre 2018  •  1 758 Mots (8 Pages)  •  483 Vues

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On peut distinguer 4 grands types de capitaux : -capital économique ; c’est-à-dire l’ensemble des biens et des faits financier,

-capitale culturelle : les connaissances et les diplômes

-Capitale sociale : on y trouve toutes les relations sociales et les connaissances (amis etc.)

- capitale symbolique : c’est un prestige qui résulte des autres formes de capitaux

On peut aussi trouver certains auteurs contemporains en faisant le diagnostic d’une extension libéralisme au relation sociale considère que tout c’est libéralisé, relation amoureuse et sexuelle sont aussi mis en avant avec le monde économique, il parle d’une libéralisme existentielle qui a conduit a des exclusions majeures, certaines personnes privées d’empois privé de femmes privé d’ami privé de toute relation sociale ne trouve pas leur place dans cette nouvelle société

Le concept d’échange donne-t-on pour recevoir, il semblerait qu’essentiellement que chaque don demande une certaine énergie contre laquelle o, attend un échange, même dans le cas de l’aumône tu ne reçois rien de concret en échange si ce n’est une satisfaction intérieure, d’une certaine façon l’échange nous oblige, lorsque l’on reçoit on se sent tributaire de celui qui nous a donné

III) Echange, valeur et justice

A) Les théories de la valeur

1) Valeur d’usage et d’échange (Aristote, Smith, Marx)

La valeur d’échange d’une chose est donnée par la valeur des marchandises que l’on échange, la valeur d’usage est déterminée par ce que l’on peut de cette chose, certaines choses ont une grande valeur d’usage et une faible valeur d’échange c’est le cas de l’air qui est vitale mais gratuit, contrairement a la monnaie qui est exclusivement une valeur d’échange on ne peut que l’échange

2) La théorie

Une idée simple pour déterminer la valeur d’une marchandise est de se référer a la quantité de travail nécessaire pour la produire c’est Adam Smith qui est le premier à introduire cette notion

« Le travail est la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise »

Et selon Ricardo si un bien n’est pas utile sa valeur d’échange devrait être nul, pour qu’il est une valeur d’échange il faut qui est valeur d’utilité

3) La loi de l’offre et de la demande

Une école économique dite néoclassique a dépassé cette théorie de la valeur du travail en considérant que la valeur d’une marchandise n’est pas déterminé par le travail nécessaire mais pas son utilité subjective, ainsi si un bien cesse d’être demandé son prix peut descendre en dessous de son cout de production

B) A qui profite l’échange

1) L’idée d’un profit asymétrique (Aristote)

Il distingue deux arts d’acquérir,

-l’art d’acquérir familiale et l’art d’acquérir commerciale, le premier est un échange qui vise acquérir des biens nécessaire a la famille, le second vise un profit, il se fait donc au dépend des autres il doit être donc condamné, on retrouve cette idée chez Montaigne pour qui tout profit est condamnable

2) Un échange qui profite aux deux contractants (Smith)

Adam smith, a au 18 eme siecles remis question la négativité des profits, puisque celui lui les deux contractants sont toujours libres d’échange, tout échange est donc juste dans la mesure ou les avantages sont réciproques de plus selon lui les désirs égoïstes de richesses conduit les travailleurs, a faire un bon travail pour faire le bien de leur clients, quelque chose conduit les individus en cherchant leur propre interet en voulant faire le bien de tous, cette idée a conduit l’économie a n’avoir de compte a rendre à personne ni à la morale ni à la religion

3) Une nécessité de prendre en compte les conditions de l’échange

Cette idée des avantages réciproques est juste il faut cependant la dépasser pour parvenir à une théorie de la justice des échanges, en effet le contrat passer entre un esclave et son maître est une sorte d’échange, il n’est cependant pas juste de penser que les avantages soit réciproque

C) Echange et aliénation, le fétichisme de la marchandise (Marx)

A) Les échanges déséquilibrés

Marx considère que la valeur d’échange des choses est égale à la valeur des biens nécessaires à la produire c’est-à-dire, quelle est égales à la quantité de bien de base nécessaire à la survie du travailleur par conséquent l’ouvrier à un salaire minimum qui lui permet juste de survivre, il est payé le minimum vitale quelle que soit la valeur de sa production, selon Marx le capitaliste s’approprie une plu valu de la valeur de travail de l’ouvrier, l’échange est donc injuste car elle n’est pas réciproque

2) Le fétichisme de la marchandise

Marx montre qu’il existe une aliénation a tout échange, la valeur d’une marchandise se donne pour une propriété naturelle de la chose alors qu’elle est issue d’un rapport sociale, c’est attitude fétichiste se retrouve principalement dans l’argent il ne représente que du travail, on croit qu’il a une valeur en soit. En bref, le rapport entre les marchanties masque un rapport entre les hommes.

En conclusion les échanges nous place dans une dimension politique car il ne peut être pensé indépendamment des états, le pouvoir politique et économique sont étroitement liés, s’oppose finalement une question de justice entre les échanges et de régulation des rapports économiques.

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