Rapport sur le lumbago

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- environnement du poste

- ambiance (bruit, chaleur…)

- horaires de travail

- cadences ?

- communication dans l’entreprise[pic 6][pic 7][pic 8][pic 9]

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3.2.1. Analyse du risque

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3.2.2 Estimation du risque

Le lumbago peut avoir une fréquence occasionnelle avec un niveau de gravité du dommage au seuil moyen A. Le lumbago peut survenir une à plusieurs fois par an. Le niveau de Gravité du lumbago peut avoir un niveau moyen sur la santé de l’agent.

Fréquence de niveau A Occasionnelle Exposition qualifiée d’occasionnelle : une à plusieurs fois

par an.

Fréquence de niveau B Intermittente Exposition qualifiée d’intermittente : une à plusieurs fois par

mois.

Fréquence de niveau C Fréquente Exposition qualifiée de fréquente : une à plusieurs fois par

Semaine.

Fréquence de niveau D Permanente Exposition qualifiée de permanente : plusieurs fois par semaines voir par jours.

NIVEAU DE GRAVITE DU DOMMAGE POTENTIEL

Gravité de niveau 1 Bénin : Dommage corporel ou atteinte à la santé qualifié de bénin (sans arrêt de travail) : contusion, coupure, hématome, irritation passagère, migraine, fatigue nerveuse et mentale.

Gravité de niveau 2 Moyen : Dommage corporel qui atteint à la santé qualifié de moyen, avec mise en cause immédiate ou différée de l’intégrité physique de l’agent de façon réversible (avec arrêt de travail), sans incapacité permanente partielle de travail : entorses, lumbago, chocs, brûlures superficielles, plaies, stress professionnel.

Gravité de niveau 3 Grave : Dommage corporel ou atteinte à la santé qualifié de grave, avec mise en cause immédiate ou différée de l’intégrité physique de l’agent de façon irréversible (avec arrêt de travail), avec incapacité permanente partielle de travail : amputation, maladie chronique, fractures, empoisonnements, hernie discale, brûlures, dépression.

Gravité de niveau 4 Très grave Mort : d’homme ou incapacité permanente totale de travail : électrocution, chute de grande hauteur, cancer, suicide.

3.2.3 Evaluation du risque

Comme le démontre le tableau ci-dessus le Lumbago a un niveau de gravité du dommage potentiel au seuil numéro 2. Car il atteint la santé de l’agent de façon réversible qui engendre un arrêt de travail. Mais pas d’incapacité permanente partielle ou même d’incapacité totale de travail. Donc l’hypothèse qui a étés émise est bien de niveau 2 avec une fréquence occasionnelle.

IV. Proposition de mesures de prévention

4.1. Les mesures de préventions existantes

De nombreuses mesures de prévention existent mais prenons les 3 techniques de préventions les plus connues :

Préventions technique : ce sont toutes les mesures techniques concernant l’outil, la machine (conception sûre), les dispositifs de sécurité (protection fixe ou mobile), le poste de travail (écran de protection, dispositif de captage, traitement acoustique), les bâtiments (voie de circulation,…),

Prévention organisationnelle : ce sont toutes les mesures concernant l’élaboration de procédures (plans de prévention, consignations, protocoles de sécurité,…), approche ergonomique des situations de travail (implantation et conception ergonomique des postes de travail,…),

Prévention humaine : ce sont toutes les mesures informationnelles (information et formation) ; elles

concernent les prévisions législatives et réglementaires en matière de formation (formation renforcée vis à vis des travailleurs précaires, formations spécifiques, les recyclages, les habilitations), mais aussi l’information des agents, les instructions communiquées et affichées, la surveillance médicale.

4.2. Hiérarchisation des mesures selon trois niveaux

La hiérarchisation des mesures selon les trois niveaux serait :

- La prévention Humaine

- Prévention Technique

- Prévention Organisationnelle.

4.3. Proposition de mesures de prévention supplémentaire.

L’aménagement ergonomique du poste de travail, la réorganisation du travail doit permettre de:

- Adapter les meubles à la taille de l’agent (bureau, chaise)

- Apprendre à s'asseoir : les pressions au niveau du disque sont très augmentées en position assise. Il faut s'asseoir le bassin calé au fond du siège dur avec un dossier droit. Pour se relever, prendre appui sur les accoudoirs ou sur les cuisses. Refuser les sièges mous, profonds et bas (chaises, fauteuils, canapés, transat) ;

- Choisir des dossiers qui épousent la cambrure des vertèbres lombaires ;

Mettre en place des formations à la Prévention des Risques liés à l’Activité Physique (PRAP). Actualiser fréquemment ce type de formation est fondamental pour prévenir l’apparition de lombalgies chez les salariés.

4.4 . Les acteurs de prévention de l’entreprise

Les acteurs de préventions sont : Le service de logique, l’infirmière de l’université, les représentants du personnel, ainsi que le directeur, ainsi que INRS (Institut National de recherche et de sécurité.

4.5. Réglementation relative au risque identifié

« La Directive européenne du 29 mai 1990 (90/270/CEE)