Philo-kant et rousseau
Par Matt • 31 Juillet 2017 • 1 688 Mots (7 Pages) • 761 Vues
...
C’est après ces 4 étapes, l’humanité commence. Ce sont les tout premier pas de l’homme; l’enfance de l’humanité, du libre arbitre et de la raison. C’est tout juste après l’apparition de la rationalité et du libre arbitre que l’homme chute dans le mal.
La raison n’est ni un instinct, ni un réservoir de connaissance. C’est un potentielle à développer. Ainsi, au début de l’humanité, la raison n’est nullement à son plein potentielle. De plus, la vie d’un être humain est beaucoup trop courte pour que la raison soit totalement développée. C’est pourquoi, ça nécessite de multiples générations pour transmettre ce principe éthique.
Le libre arbitre affranchit nos instincts. Il oblige l’être humain à tout inventer. C’est la même conclusion que la raison; le développement du libre arbitre nécessite de multiple génération. La rationalité et le libre-arbitre sont reliés, il se développement en même temps. Il sont la base de la moralitée.
Ainsi, le peu d’expérience de la raison et du libre arbitre a contribué en partie à la chute dans le mal. La nature a poussé l’homme dans un vaste monde qu’il connait peu et où il y a tant de maux et de souci.
Ce qui a contribué en grande partie à la violence est l’insociabilité. Cette tendance à s’isoler et à compétitionner à causées de nombreuse souffrance et de conflits. L’être humain voyait constamment l’autrui comme un rivale. Il n’avait ni limite, de sorte que l’homme avait une liberté totale. Ils étaient à la poursuite de leur désir et pouvait avoir recourt à la violence et avait le droit de tué car rien ne les empêchait. Comme Hobbes disait : « c’était la guerre de chacun contre chacun » afin de satisfaire leur désir.
L’insociabilité a tellement généré de souffrance que l’homme a dû être mis au pied du mur pour qu’il renonce à une partie de leur liberté. Ainsi, tous les humains ont renoncé en même temps à une partie de leurs liberté et l’on transféré à l’État/gouvernent. En renonçant, l’homme à crée une paix intérieur dans la société. C’est l’insociabilité qui a forcé l’être humain à se donner un ordre social. La souffrance qu’il gérerait a permis de créer les sociétés. Bref, il y a passage à une liberté barbare à une liberté limité, dans lequel l’individu est protégé par des lois.
La solution première, selon Kant, est la création des sociétés. Les individus renoncent à la violence et permet d’avoir un état de paix. L’insociabilité est donc la cause de la violence, mais lorsque celui-ci est dans encadrer dans une société, il y a aussi des avantages.
Elle permet le développement des capacités et des talents puis que la paix est maintenant établit. L’insociabilité pousse l’homme à surmonter sa paresse de la sorte que les capacités moral (raison et libre-arbitre) se développent aussi. Il est important de spécifié que c’est seulement en société que l’être humain peut développer ces capacités puis que lorsqu’il n’y avait pas de loi, l’homme était constamment en danger de mort. Il était en mode survie et ne pouvait donc pas développer le reste. Les individus en société se côtoie et peuvent compassionner sans s’entre tuer. C’est donc avec le développement de la rationalité et du libre-arbitre qu’il a le début d’une réflexion éthique. Il y a l’apparition des 1e règles morales. Ainsi, sur le plan individuel la violence cesse.
Par contre, les État sont encore en liberté sauvage. Il y a des guerres entre les états. Il faut donc procéder de la même manière que les individus. Il faut donc arrivée à la souffrance la plus extrême, la guerre, pour qu’il ait une paix entre tous les États. Les États seront mis au pied du mur et devront aussi renoncer à une partie de leur liberté. Ils se réuniront en se donnant des lois communes sans tout fois remplacer les lois intérieures. Ils créeront un État Cosmopolitique.
C’est avec cette État Cosmopolitique qu‘il aurait une paix perpétuelle. Cet État fonctionnera par elle-même de la sorte qu’il n’aura pas de gouvernement au-dessus des sociétés. Par contre ce ne sera pas pour demain.
Bien
...