Le progrès de la médecine

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des conséquences graves sur l’individus.

B. De lourd dégâts pour l’individus

D’un point de vue individuelle, un enfants qui aura subit l’eugénisme voulu par ces parents aura l’impression de n’avoir été que formater. Il ne verra son identité que comme celle voulu par ces parents et auquel il devra ce confronté, et non ce qu’il est réellement. Se pose ainsi la volonté de la part de l’individus de n’être que le fruit du hasard plutôt que quelque chose qui fut déjà programmé et qui n’a laissé aucune place à la nature. La dignité de l’individus serait donc entravé. Par conséquent, le philosophe Habermas estime que la libertés eugénique des parents et la libertés éthique des enfants entrent en contradiction et qu’il faut au nom d’une éthique humaine, ne pas hypothéquer le droit des générations futurs à disposer d’elle même, ne pas les assujettir aux décision de celles d’aujourd’hui.

C. Pourquoi devrait-on retirer la vie a un individu different ?

Aujourd’hui plusieurs techniques tel que le DPN, c’est à dire l’ensembles des pratiques médicales qui vise à détecter in utero chez l’embryons ou le fœtus une affection grave afin de donner aux futurs parents le choix ou non d’interrompre la grossesse peuvent être considérés comme des pratiques eugéniques dans la mesure ou cela pose des problèmes de normativité, c’est à dire la norme éthique. Tout individu doit avoir le droit à la vie quel qu’il soit. En effet, ce qui fait la richesse d’une société c’est sa diversité, ainsi une société où tout le monde serait parfait perdrait de son humanité. Ce serait une société où la nature n’aurait plus sa place, en bref une société totalement robotisé.

2. Le marché de l’eugénisme

Un autre problème selon Habermas, est posé par la possible libéralisation de l’eugénisme positif.