L'homme et la liberté : voulons-nous vraiment être libres ?

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de ces deux libertés, des contraintes sont instaurées par la société : la liberté collective limite la liberté individuelle. La société marche donc par la mise en place de loi qui décrète les limites de la liberté. « (Mettre article 6 de la constitution des droits de l’homme et du citoyen.) ». Mais ces contraintes empêchent l’homme d’être pleinement libre et le conduis même à ressentir le besoin d’être libre et à vouloir braver ces contraintes. En plus de cela, l’homme ne veut en aucun cas supprimer ces contraintes car elles sont pour lui la sécurité. Nous avons affaire à une situation paradoxale.

L’homme, dans son désir de liberté, est tout de même freiné. Il est d’abord freiné par une certaine peur de cette liberté. En effet en acquérant la liberté et pour acquérir la liberté, il doit renoncer à tout un tas de choses, notamment sa sécurité. Car oui, la sécurité est créée par des contraintes qui empêchent l’homme d’être pleinement libre, par les lois par exemple. Ces lois maintiennent l’ordre dans la société et l’homme redoute le chaos, il se sent trop faible. Ensuite l’être humain à peur de ne pouvoir faire face à une indépendance totale. Pour être libre il doit pouvoir se débrouiller seul, sans l’aide de personne, se dépendre à lui-même. L’homme a peur de ne pas en être capable surtout à cause de la situation dans laquelle nous sommes. Lorsque l’homme a besoin d’aide, il demande, il ne cherche pas à trouver la solution par lui-même ou alors il abandonne vite puisque cela serait perdre du temps, un autre congénère sais la réponse à son problème. Ayant connu le confort il est intimidé par ce que pourrait être la liberté et qui serait, selon lui, moins source de bonheur.

Pour cela, il existe une simple prétention à la liberté. L’homme c’est construit une autre forme de liberté qui lui permet d’aspirer à la liberté désiré sans pour autant tomber dans la liberté pleine qui lui fait peur. Il est ainsi dans une illusion de la liberté qui lui permet de mieux tendre vers le bonheur

Si L’homme a peur d’être libre ou encore si il se créer une illusion de liberté c’est qu’il ne veut pas quitter son monde dans lequel il est devenu dépendant. Il existe en lui un goût pour la servitude. Sans ce goût il n’aurait pas peur de le quitter et ne se créerait pas l’illusion d’une liberté dans laquelle il a introduit la servitude comme quelque chose de décidé entièrement par l’homme par son propre chef.

On pourrait dire donc que l’homme ne veut pas vraiment être libre mais l’on peut remarquer qu’il y a tout de même des faits ou des personnes qui témoignent en faveur de la volonté réelle de la liberté. Dans l’histoire notamment de nombreux faits nous prouve que l’homme veut être libre. La révolution française en est un exemple, les hommes se sont battus pour acquérir leurs droits et leur liberté. Ou encore les guerres d’Indépendances où le but même et la liberté des peuples.

La volonté à quelques conditions. Pour que cette volonté ressorte il faut le plus souvent que l’on pousse l’homme dans une situation extrême. La volonté est montée par une servitude à ses désirs impulsifs.

Mais comme elle est nourrit par la servitude des désirs et que la servitude retient l’homme alors la volonté de la liberté peut être fragile. Si l’on est déjà libre à l’intérieur de soi, la volonté n’apparaîtra pas comme un désir mais ce n’est pas pour autant que l’homme ne sera pas indifférent à l’acquisition de sa liberté extérieure.

L’homme ne voudrait pas être vraiment libre. Il voit la liberté comme une apogée, comme un rêve qui est compliqué à atteindre mais si il commence à pouvoir l’atteindre il s’arrêterait. En effet la liberté lui paraît finalement dangereuse elle pourrait casser la société le faire sortir de son confort et de sa dépendance dont il a un goût réelle. Alors il prétend être libre en décidant de fumer ou de boire, mais c’est une illusion, une détournassions de la véritable liberté pour se satisfaire. Même si la volonté de vouloir être libre elle est bien réelle, la liberté n’est qu’utopique. La volonté de l’atteinte de la liberté n’est en fait que la volonté de l’atteinte du bonheur.