Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.
Par Christopher • 14 Avril 2018 • 1 884 Mots (8 Pages) • 553 Vues
...
serait favorable avant qu’elle est un acte sexuel. Je me pose aussi la question de savoir si l’acte sexuel n’éveillerais pas un désir chez les personnes fragilisées mentalement et les poussé à devenir des délinquants sexuels, d’ailleurs certains politiques parlaient durant une époque de stériliser les personnes handicapées mentaux afin d’éviter à les pousser au viol mais sa c’est un autre débat.
Personnellement, je pense qu’une personne atteinte de handicap physique ou psychologique léger ne fera pas forcément un mauvais parent par rapport à des personnes ne souffrant d’aucuns handicaps, d’ailleurs je connais une enfant dont les parents souffrent de léger handicap mentaux, ils travaillent tous les deux et la petite qui n’est atteinte d’aucuns handicaps est bien élevée, sainte d’esprit et bien intégré dans la vie sociale, on voit qu’elle est plus mature que ses parents mais ils font de leur mieux pour qu’elle soit bien élevée et qu’elle puisse aller au maximum de ses possibilités.
Certes la surveillance psychologique sera plus poussée envers une enfant avec des parents handicapées (parfois à mauvais escient) mais ils ne feront pas forcément de mauvais parents. D’ailleurs il n’y a pas de « Super parents ». Les enfants (comme tous les autres) seront peut-être critiqués ou maltraité à l’école mais ils seront aussi plus matures et compatissant envers les personnes.
Dans le cas où les personnes ne peuvent pas jouir de leurs droits à la sexualité à cause de handicap physiques ou car ils n’ont pas trouvé de personnes capable de les accepter, il faut savoir qu’il existe des solutions pour faire évoluer le droit à la sexualité.
III) Les évolutions afin que les personnes handicapées jouissent de leurs droits à la sexualité.
La principale solution est celle des aidants sexuels mais de nombreuses solutions sont à envisager et des lois sont mises en place afin de favoriser la pleine intégration des personnes handicapées.
Les personnes handicapées sont souvent considérées à tort comme privés de sexualité et de sensualité c’est pour cela qu’aucunes solutions probante n’a été proposé durant de nombreuses années mais depuis 2000, les lois ont changé en faveur de ces personnes privées de sexualité.
La première solution serait de faire évoluer les mœurs et les coutumes, élargir les esprits et se poser les bonnes questions en matière de sexualité chez les personnes handicapées afin de faire évoluer les mentalités afin que le « service sexuel » ne soit plus considéré comme du proxénétisme et que les pratiques clandestines laissent la place à une pratique courante pour permettre aux professionnels de pouvoir exercé sans répercussions ou sans gènes.
La question d’un service d’accompagnement sexuel a été posée en 2007, même s’il reste des questions éthiques et déontologiques à résoudre, on est en bonne voir pour voir la création d’un service sexuel et du métier d’aidant sexuel. Ces professionnels de la santé auraient une formation supplémentaire afin que deux personnes consentent puissent réaliser l’acte sexuel en étant supervisé.
De nombreuses lois comme La loi « handicap » du 11 février 2005 prévoit l’accès aux droits fondamentaux reconnus à tous les citoyens ainsi que le plein exercice de sa citoyenneté et le droit à compensation des conséquences de son handicap.
La convention de l’ONU adoptée en décembre 2006 réaffirme la nécessité de garantir la pleine jouissance de tous les droits de l’homme et de toutes les libertés fondamentales aux personnes handicapées sans discrimination.
Des institutions comme handicap International ont déjà mis en place, en 2000, un Service accompagnement à la vie affective et sexuelle des personnes handicapées (AVAS).
Pourtant, en France aucunes solutions légales n’est encore mise en place, privé une personnes handicapée d’un droit fondamental la pousse encore plus vers l’exclusion.
Le plaisir et la satisfaction sexuels sont des composants fondamentaux du bien-être et il est indispensable de les faire connaître et les promouvoir. L’acte sexuel est un acte de la vie courante et pourtant, les coutumes et les mœurs font qu’à notre époque sa reste un sujet tabou, la sexualité des personnes handicapées est encore plus tabou car elle pose des problèmes d’éthique et de déontologie, en attendant que les pouvoirs publics trouvent des solutions adapter, de nombreuses personnes en situation de handicap et de dépendance ne jouissent toujours pas de leurs droits fondamentaux au 21ème siècle, la question des aidants sexuels méritent d’être plus approfondit. Quand est ce que les politiques trouveront-il une solution adaptée afin qu’il n’y ait plus de discrimination envers les personnes handicapées ?
...