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Etude des préjugés implicites

Par   •  19 Avril 2018  •  4 304 Mots (18 Pages)  •  418 Vues

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comme les mouvements des yeux ou encore la signification de la focalisation du regard. Cette expérimentation s’inscrit également dans le cadre d’une étude de psychologie. En effet la psychologie est l’étude des caractères et des comportements, or dans notre cas, l’interprétation du regard ce fait à travers un filtre (préjugés raciaux implicite ou explicite), le regard à alors une dimension psychologique dans la mesure ou on parle de vision et non pas uniquement de perception visuel. Enfin on peut voir dans cette étude une dimension sociologique dans la mesure ou cette étude met en avant un fait --> de nombreuse personnes possédent des préjugés qui peuvent les influencés dans leur décisions et ceux en l’ignorant. C’est deux dimensions de l’étude sont représentées par l’ensemble de l’équipe.

1.3- La problématique :

Lorsque nous naviguons à travers notre vie quotidienne, nous sommes inondés d’information visuelles que nos cerveaux doivent encoder et intégrer avec succès afin de visualiser l’environnement avec un minimum d’erreur. De tels procédés sont généralement pris pour acquis, car ils sont, pour la plupart, menées en dehors de notre conscience. Ainsi des informations issus de notre inconscient peuvent influencer notre manière d’analyser visuellement l’environnement qui nous entoure. On peut alors ce demander comment nos préjugés affectent la perception et l’analyse de l’environnement ?  

2-L’expérience :

Cadre théorique : Il est largement admis que, pendant le balayage actif d’une grande variété de stimuli visuels, nous utilisons des références intériorisés, communément appelés schémas (à savoir,connaissance général sémantique et spatiale), pour guider notre regard. Ces schémas influent donc sur la direction des mouvements oculaires grâce à une interaction dynamique des deux processus, automatiques et contrôlés avec des processus automatiques plus actifs au début de l’exploration visuelle. L’étude qui est menée ici cherche à déterminer comment des schémas qui comporterait des préjugés raciaux modifieraient le regard. Pour cela les expérimentateurs ont réutilisés les études de Dotsch et ses collègues pour sélectionner un ensemble d’individus présentant une utilité à l’expérience. En effet l’étude de Dotsch permet de déterminer si une personne possède des préjugés raciaux explicites ou implicites. Après avoir sélectionner un groupe d’individu teste, une batterie d’expériences peut être menée pour comparée les stratégies de visualisation entre des individus plus ou moins racistes et des individus possèdent de faibles préjugés.

Expérience : On cherche à savoir si le regard d’un homme blanc sur un visage noir va ce concentrer sur certaines régions. On pourra alors savoir si la manière de regarder est un révélateur de préjugés raciaux. -Méthode : 1) Tous les participants ont rempli le QDI ( Le QDI est une mesure d’auto-évaluation qui évalue les attitudes envers l’égalité raciale et l’égalité des sexes; il est composé de trois sous-échelles: l’attitude générale envers la diversité raciale; attitudes affectives et personnelles; et les attitudes concernant l’équité des femmes). Afin d’éviter l’effet placebo plusieurs autres questionnaires non associés à l’expérience actuelle ont été insérés dans la session d’échantillonnage de masse. 2) Les participants ont été équipées du système d’eye-tracking (traque les mouvements oculaires) afin de réalisé l’étalonnage. L’étalonnage ce fait grâce à la focalisation de la rétine en neuf points précis de l’espace. 3) Après l’étalonnage réussi, les participants ont vu les 24 visages dans un ordre aléatoire; chaque image de visage a été montré pendant 7 s tandis que les mouvements oculaires des participant ont été enregistrés. Entre chaque image, les participants devaient fixer un seul point précis afin d’effectuer une vérification de la dérive qui assure la précision de l’étalonnage. Avant les sessions expérimentales, tous les participants ont été informés que l’étude portait sur la façon dont les humains analysent les visages à l’aide des stratégies de visualisation. Il leur a été dit que deux étalonnages en 9 points et une séance de visualisation de visage était nécessaires pour calibrer l’eye-tracking. Il a alors été demandé aux participants de simplement regarder une photographie du visage d’une personne. 4) Une fois la session de suivi de l’œil terminée, les participants ont été déplacés vers un autre ordinateur où ils ont terminé l’IAT. L’IAT a été décrit comme une procédure d’étalonnage supplémentaire pour évaluer les vitesses de réponse des participants. 5) Les participants ont été amenés à croire que toutes les procédures "d’étalonnage" (la calibration 9 points, face à la session de visualisation, et l’IAT) ont été nécessaires afin de mesurer correctement leur comportement dans une étude ultérieure de la perception du visage. Une fois que chaque participant eu complété l’IAT, il,elle a été informé quant à l’objet réel de l’étude.

3- Les résultats :

-Les scores des participant IAT et QDI on était reportés l’un contre l’autre sur un graphique.

-Chez seulement un participant nous n’avons pas été capable d’obtenir des données QDI. Les données de suivi oculaire de chaque participants ne sont donc pas inclus dans toutes les analyses décrites ci-dessous.

Score IAT (procédure d’étalonnage supplémentaire

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