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Militaire dans les rues

Par   •  25 Novembre 2018  •  5 634 Mots (23 Pages)  •  536 Vues

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d’abord, 150 membres des forces terrestres avaient été chargés de protéger des bâtiments sensible à Bruxelles et Anvers

tels que des ambassades ou les institutions internationales.

Après les attentats de Paris datés du 13 novembre 2015, cette présence n’a fait qu’augmenter pour dépasser le milier d’effectifs.

Au début de 2016 jusqu’aux attentats de Bruxelles du 22 mars, ce nombre était descendu à environs 800 unités.

C’est après le 22 Mars 2016 que plus de 1 600 hommes ont été requis. Après la fermeture de Zaventem, ils ont été affectés à la

sécurisation des autres aéroports régionaux. Cela à duré plusieurs semaines pour enfin connaître une stabilisation fin octobre.

Après une mise en accord des politiciens, les moyens de sécurités ont été optimisé, en diminuant les postes fixes et en autorisant

les patrouilles mobiles. Le nombre de militaire en rue est passé de 1 300 à 1 100. Ils sont aujourd’hui présents à Anvers, Bruxelles,

Zaventem, Liège, Charleroi et à l’aéroport de Gosselies. Les 200 militaires restant sont mobilisable selon les besoins et en cas d’alerte.

D’après le colonel Laurent "Nous sommes normalement structurés en unités de 10 à 30 personnes. Ici, les patrouilles se limitent parfois à

deux militaires. Pour pouvoir réagir de manière optimale."1. La situation actuelle

Les premiers militaires ont été déployés suite aux attentats du 6 janvier 2015, à Paris, contre "Charlie Hebdo".

Tout d’abord, 150 membres des forces terrestres avaient été chargés de protéger des bâtiments sensible à Bruxelles et Anvers

tels que des ambassades ou les institutions internationales.

Après les attentats de Paris datés du 13 novembre 2015, cette présence n’a fait qu’augmenter pour dépasser le milier d’effectifs.

Au début de 2016 jusqu’aux attentats de Bruxelles du 22 mars, ce nombre était descendu à environs 800 unités.

C’est après le 22 Mars 2016 que plus de 1 600 hommes ont été requis. Après la fermeture de Zaventem, ils ont été affectés à la

sécurisation des autres aéroports régionaux. Cela à duré plusieurs semaines pour enfin connaître une stabilisation fin octobre.

Après une mise en accord des politiciens, les moyens de sécurités ont été optimisé, en diminuant les postes fixes et en autorisant

les patrouilles mobiles. Le nombre de militaire en rue est passé de 1 300 à 1 100. Ils sont aujourd’hui présents à Anvers, Bruxelles,

Zaventem, Liège, Charleroi et à l’aéroport de Gosselies. Les 200 militaires restant sont mobilisable selon les besoins et en cas d’alerte.

D’après le colonel Laurent "Nous sommes normalement structurés en unités de 10 à 30 personnes. Ici, les patrouilles se limitent parfois à

deux militaires. Pour pouvoir réagir de manière optimale."1. La situation actuelle

Les premiers militaires ont été déployés suite aux attentats du 6 janvier 2015, à Paris, contre "Charlie Hebdo".

Tout d’abord, 150 membres des forces terrestres avaient été chargés de protéger des bâtiments sensible à Bruxelles et Anvers

tels que des ambassades ou les institutions internationales.

Après les attentats de Paris datés du 13 novembre 2015, cette présence n’a fait qu’augmenter pour dépasser le milier d’effectifs.

Au début de 2016 jusqu’aux attentats de Bruxelles du 22 mars, ce nombre était descendu à environs 800 unités.

C’est après le 22 Mars 2016 que plus de 1 600 hommes ont été requis. Après la fermeture de Zaventem, ils ont été affectés à la

sécurisation des autres aéroports régionaux. Cela à duré plusieurs semaines pour enfin connaître une stabilisation fin octobre.

Après une mise en accord des politiciens, les moyens de sécurités ont été optimisé, en diminuant les postes fixes et en autorisant

les patrouilles mobiles. Le nombre de militaire en rue est passé de 1 300 à 1 100. Ils sont aujourd’hui présents à Anvers, Bruxelles,

Zaventem, Liège, Charleroi et à l’aéroport de Gosselies. Les 200 militaires restant sont mobilisable selon les besoins et en cas d’alerte.

D’après le colonel Laurent "Nous sommes normalement structurés en unités de 10 à 30 personnes. Ici, les patrouilles se limitent parfois à

deux militaires. Pour pouvoir réagir de manière optimale."1. La situation actuelle

Les premiers militaires ont été déployés suite aux attentats du 6 janvier 2015, à Paris, contre "Charlie Hebdo".

Tout d’abord, 150 membres des forces terrestres avaient été chargés de protéger des bâtiments sensible à Bruxelles et Anvers

tels que des ambassades ou les institutions internationales.

Après les attentats de Paris datés du 13 novembre 2015, cette présence n’a fait qu’augmenter pour dépasser le milier d’effectifs.

Au début de 2016 jusqu’aux attentats de Bruxelles du 22 mars, ce nombre était descendu à environs 800 unités.

C’est après le 22 Mars 2016 que plus de 1 600 hommes ont été requis. Après la fermeture de Zaventem, ils ont été affectés à la

sécurisation des autres aéroports régionaux. Cela à duré plusieurs semaines pour enfin connaître une stabilisation fin octobre.

Après une mise en accord des politiciens, les moyens de sécurités ont été optimisé, en diminuant les postes fixes et en autorisant

les

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