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Les femmes du Québec

Par   •  11 Octobre 2018  •  1 713 Mots (7 Pages)  •  505 Vues

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le vote des femmes au Québec avec, à sa tête, Idola Saint-Jean. En 1928, Thérèse Casgrain devient la présidente du comité provincial ». Le texte de Idola St-Jean a été fait dans le milieu de la lutte pour le droit de vote des femmes mais quelques mois plus tard, le Conseil privé de Londres penche en faveur des femmes, cette article a probablement influencer le conseil pour qu’il soit en faveur des femmes.

ANALYSE DU TEXTE

Contenu du texte

Cet article de journal comporte l’opinion de la femme qui a marqué l’histoire de la femme au Québec, Idola St-Jean sur l’inégalité entre les hommes et les femmes ainsi que le droit de votes. Puisqu’elle n’a pas de pouvoir et que c’est le premier ministre qui décide du sort des femmes, Les féministe ne cessent de se battre pour acquérir le droit de vote et d’ainsi être enfin être en égalité envers les hommes : « Le souffle d’égoïsme qui a été créé l’état de chose que nous combattons, la condition subalterne des femmes, état résultant des époque primitive où seul la force brutale primait le droit, sera graduellement étouffé et les derniers vestiges de l’aristocratie disparaitront ».

Dans le 5e paragraphe, madame St-Jean explique un cause de pourquoi les femmes ce sont révolté après la guerre. Les hommes ont été entrainé à la tuerie et les femmes ont alors été forcé de remplacer les hommes dans les usines et on eut à donner leur rendement à la société. C’est à ce moment-là, après avoir accomplie les taches des hommes au travail avec succès, elle a réalisé ce qu’elle était capable de faire et elle ne veut plus retourner à son ancienne vie de mère au foyer.

Dans les quelques paragraphes suivant, Idola St-Jean s’exprime sur le fait qu’il n’est aucun sens que la femmes peuvent voté dans les élection fédéral alors qu’il ne peuvent pas voté au élection provincial. Elle affirme que : « le vote est le droit que possède tout citoyen de s’exprimer dans les questions d’intérêt public. Les femmes de la province n’ont elle pas des intérêts à défendre, ne doivent-elles pas s’occuper des conditions de travail d’hygiène, d’administration scolaire » Celle-ci a raison pourquoi pouvoir voté au fédéral et non au provincial cela n’a aucun sens.

Elle parle ensuite de suffrage universel, ce qui est le vote de tous les citoyens, ce n’est alors pas le cas au Québec. Idola explique ensuite ce que c’est l’électorat, si c’est une fonction ou un droit. Elle explique que si c’est une fonction publique, seul les plus dignes et les plus capables auraient cette fonction. Si c’est une fonction elle affirme que le gouvernement a alors le devoir de conférer la fonction de vote aux femmes les plus instruites. Ensuite si c’est un droit, aucun membre du corps social, ce qui est l’ensemble des individus d’une même société, ne doit en être dépossédé. En ce sens les explications de madame St-Jean sont très concrètes mais puisque c’est des hommes qui sont au pouvoir et que la mentalité des hommes et des femmes n’est pas la même elles n’ont alors pas le droit au vote.

Dans les derniers paragraphes, elle explique que les manifestation du féministe a grandement aidé la causes des femmes dans les autres provinces du Canada. Aussi que le gouvernement du Québec arrête d’être égoïsme et aveugle et que l’aide des mères et femmes ne pourra qu’améliorer la société. En remerciant tout le monde elle insiste les québécois à collaborer à leur campagne.

Fiabilité du document

Elle affirme que les femmes vont continuer à se battre vaillamment jusqu’à temps que tous les pays du monde aient reconnu l’influence des femmes est tout aussi nécessaire dans la vie de famille que publique. Malheureusement, en 2015 il a encore deux pays dont les femmes n’ont pas le droit de votes dont les femmes de l’Ouganda et à Taiwan . Elle a expliqué son point trop généralement en appliquant ce quel veux faire au Québec dans le monde. Mise appart ce petit point-là, on peut dire madame St-Jean connait très bien le sujet qu’elle défend, elle est une femme importante dans le féministe du Québec. Idola St-Jean est objective dans ces propos, elle parle au nom de tous les féministes du Québec et explique ce qu’elles pensent toutes. Le but de cette articles était d’influencer bien sur le gouvernement que cela n’a aucun sens que les femmes n’ont pas encore le droit de vote mais d’influencer la population du Québec au complet pour qu’ils soient de leur côté.

PORTÉE DU DOCUMENT

L’article de journal d’Idola St-Jean n’aura pas eu d’impact immédiat autre que d’influencer un peu la population mais c’est avec le temps et au fur et à mesure des articles publier dans les journaux, les manifestations et l’ardeur des féministes que tout va finalement être récompensé. Avec Thérèse Casgrain et Idola St-Jean, qui ont créé le comité du suffrage provincial qui est ensuite devenu la Ligue des droits de la femme, ses deux dames ont beaucoup aidé la cause des femmes. Elles contribueront ensuite à briser les barrières politiques en ce présentant comme candidates au palier fédéral. C’est alors le 25 avril 1940 que la dure bataille prit fin avec l’acceptation du droit de

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