Le travail de référencement.

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Pour créer du trafic, il faut beaucoup mots dans un site internet pour ne pas oublier les 80%.

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C’est pour cela qu’il faut du texte dans un site internet qui permettra d’activer la long train. C’est l’exemple de Wix qui gère son contenu éditorial via un blog pour alimenter son trafic.

Il faut une stratégie double : les mots clés (20%) et le contenu éditorial (80%).

Pour les mots clefs, on peut s’aider de conseils de Google comme Google AdWords, Google Trends (permet de savoir ce que les internautes recherchent aujourd’hui).

Pour ce qui est des mots clefs, il faut se concentrer sur les balises H1 à H6. Placer les mots clefs dans la balise H1. Il en faut une par page. La balise H1 doit contenir 6 ou 7 mots clefs, dans l’idéal différents sur chaque page.

Exemple pour la page d’accueil de l’IAE, il faut mettre :

IAE, Institut d’Administration des Entreprises de la faculté de Tours

Dans le web, quand on rédige, il y a le principe de la pyramide inversé : il faut commencer par ce qui est important et finir par le moins intéressant. Contrairement à la presse papier. Sur le web, il faut tout de suite donner l’info avant que l’internaute aille sur une autre page.

Autre technique, la balise strong est comprise par Google. Si jamais un mot clefs n’a pas été mis au bon endroit, on lui rajoute une balise strong et Google le comprendra.

Il faut environs 200 mots dans un paragraphe pour commencer à être visible par Google.

Autre balise fondamentale, c’est la balise title. Il faut être très explicite dans cette balise. Il faut répondre aux deux questions dans cette balise : qui « êtes-vous » et « que faites vous ». Autre intérêt à la balise title, c’est que c’est le contenu de cette balise qui va être affiché dans les SERP.

Taux de rebond : outil marketing qui permet de mesurer le pourcentage d'internautes qui sont entrés sur une page Web et qui ont quitté le site après, sans consulter d'autres pages. Ils n'ont donc vu qu'une seule page du site.

Renforcer le maillage interne. Lorsque l’on écrit un article, il faut s’arranger pour renvoyer à un autre article déjà écrit. I-e que notre blog va relancer sur un article que l’on a déjà écrit, en le citant via lien hypertexte.

Critères offpage :

Dans tous les sites web, à la racine, on trouve un fichier robot.txt dans lequel on peut générer des informations à leur attention. On peut les masquer pour ne pas que les moteurs de recherche viennent les trouver. Ça va nous permettre (créateur du site) de donner des informations aux robots. Mais les robots ne sont pas obligés de suivre ces indications.

Le ficher sitemap permet de dire au moteur de recherche toutes les pages qui existent (c’est la structure du site). L’intérêt c’est de pousser le robot à voir tout ce qu’il y a dans le site. Mais le fichier sitemap est difficile d’utilisation pour les CMS.

Lors du choix de l’URL, il faut bien choisir l’extension : .fr ; .com ; …

Attention aux cybers squating, c’est interdit mais ependant au vu du nombre d’extensions, il faut des gens capable de gérer cela.

Google fabrique une note pour toutes les pages web dans le monde, qui va de 1 à 10. C’est un peu la confiance que l’on peut accorder à la page. Cette note était pendant longtemps une note publique, mais Google ne la transmet plus.

Pour faire un bon SEO, il faut du contenu original et de qualité et mis à jour. On doit trouver des mots clefs, mais le référencement ne peut pas se baser que sur les mots clefs. Il faut du contenu éditorial en plus. Il faut utiliser tous les moteurs de recherche. Sur la popularité, il faut du maillage interne, des liens. Il faut qu’il y ai des sites qui parlent de nous. Et pour que ça nous apporte de la popularité, il faut que le site qui parle de nous soit connu. Il faut optimiser les contenus : title, descriptions, …

A la suite de tout cela, il faut mettre en place un tableau de bord pour suivre les évolutions.