La monnaie et ses mécanismes

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marchés de capitaux sont donc apparus en France après 1980: le marché monétaire, le marché de produits dérivés, le marché financier.

Les comportements des agents financiers ont eux aussi changés, ainsi les ménages ont désormais un patrimoine financier plus important mais leurs dettes en vont de même, l’Etat quant à lui a augmenté la dette publique, enfin les entreprises ont des marchés de capitaux pour pouvoir se financer.

On observe par ailleurs que les crédits et les dépôts des banques ont baissés de 1980 à 2010 mais les banques participent plus dans le marché des titres.

Le chapitre 5 décrit le développement explosif des marchés financiers internationaux et du marché des changes sur lequel les monnaies sont échangées entre elles.

Le marché des changes est l’un des plus important au monde, c’est un marché interbancaire où les entreprises, les autorités monétaires et les banques se confrontent.

Les marchés internationaux de capitaux s’organisent en trois parties principales qui sont le prêt bancaire international, les obligations internationales et les instruments monétaires.

Ce marché a connu une croissance très forte ces dernières années.

Les monnaies peuvent être échangées pour un motif commercial comme le règlement de l’importation d’une marchandise. Mais aussi pour réaliser des opérations financières en tirant parti des différences à court terme des cours de change et des taux d’intérêts.

Le système monétaire internationale organisent ces relations monétaires internationales. Il va ainsi définir un ensemble de règles et d’institutions et présente 3 fonctions principales que sont le fait d’assurer l’échange et la circulation des monnaies, permettre l’ajustement des balances de paiement, et enfin s’assurer de l’alimentation en liquidité internationale.

La globalisation financière a ainsi permis au SMI d’évolué en étant désormais un modèle se voulant régulé par les mécannismes de marché.

Suite aux accords de Breton Woods le dollar a gardé une place importante dans le système monétaire internationale mais il partage de plus en plus sa place centrale avec l’euro et le yen.

La globalisation financière change les règles du système monétaire internationale au détriment des états, leur pouvoir qui s’applique sur un territoire est en inéquation avec la nouvelle réalité de cette finance planétaire qui ne se préoccupe guère de la géographie.

Le chapitre 6 donne les éléments nécessaire à une bonne comprehension des objectifs et des instruments de la nouvelle politique monétaire, ainsi que des mécannismes par lesquels celle-ci affecte le fonctionnement de l’économie.

Les objectifs de la politique monétaire sont de deux types :

Tout d’abord il y’a les objectifs intermédiaires qui remplissent 3 conditions que sont la mesurabilité et la facilité d’identification, le reliement des variables réelles retenues comme objectif final et le contrôle par les autorités monétaires avec les instruments dont elles disposent.

Enfin il y’a les objectifs opérationnels de l’état de la politique monétaire. Les autorités monétaires utilisent ainsi ces deux types de variables.

Ces dernières vont utilisées plusieurs instruments que l’on classe en deux catégories :

- Les technniques de contrôle administratif et quantitatif (contrôle de crédit, contrôle des changes).

- Les opérations de marché (influence du taux d’intérêt à court terme). Dans ce but les banques centrales disposent de 2 outils que sont l’open market et les facilités permanentes.

L’innovation financière et technologique a abouti à l’apparition de nouveaux produits financiers, des produits dérivés et les nouvelles formes de monnaie.

Conclusion :

Les économistes s’accordent de dire que la monnaie permet la réduction des coûts des échanges, sans celle-ci il ne peut pas y avoir de marché qui fonctionne efficacement.

La monnaie est un instrument économique qui possède des dimensions sociales (elle gère les relations sociale) et politique (utilisée comme moyen d’intégration).