La femme en politique
Par Christopher • 6 Avril 2018 • 7 898 Mots (32 Pages) • 476 Vues
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la couleur de mes cheveux qui sont noisette, je vous ressemble, madame. J’ai la même taille et, à la faveur de la nuit, si je parviens à me glisser dans le lit du roi, je pourrai peut-être me faire passer pour vous.”(p.95) Ce passage se fut dire par Brangien à sa maitresse Iseut. Cela ma touché parce qu’elle est prête à perdre sa virginité pour que le roi ne découvre pas que Iseut n’était plus vierge, sinon la jeune allait mourrir. C’est vrai que c’était sa faute que Tristan et Iseut ont fait l’amour, car elle n’avait pas bien surveillé la potion que sa maitresse l’avait donné. Mais c’était un acte très brave et gentil. Ça ma aussi touché car, le fait de perde sa virginité à une personne qu’on n’aime pas est dure, très dure, mais elle a sacrifié cela pour Iseut. C’est pourquoi je trouve que cela est une citation marquante.
Deuxième citation: “Un jour la vérité la frappa en plein visage. Sous l’enveloppe pitoyable du fou du roi, derrière les grimaces et les cabrioles de celui-ci, cette bouche tant de fois baisée, ce corps aux formes si longtemps caressées qu’elle aurait pu le reconnaître les yeux fermés. -TRISTAN! Ce fou était Tristan!”(p.276) Ce passage décrit le moment précis lorsque Iseut découvre que le fou du royaume, avec ses drôle histoires et sa longue barbe, était Tristan. Cela m’avait surpris que ça lui a pris autant de temps à découvrir que c’était lui. Ce passage était triste à cause de la condition de Tristan. Il était devenu fou après un combat qui s’était déroulé en Irlande. Une grosse roche lui avait fendu sa tête. Cela est triste car il essayait d’être courageux, pourtant ça l’a rendu fou. Mais de l’autre côté, il a pu voir Iseut et se fut sauver par elle. C’était un moment de joie et de tristesse, et donc c’est pourquoi j’ai trouvé que c’était une citation marquante.
Troisième citation: “ - Puisque je n’ai pu vous rejoindre assez vite pour vous ramener à la vie, c’est moi qui vous retrouverai dans la mort. Ainsi nous serons réunis pour toujours… Au moment même où Kaherdin et Brangien entraient dans la pièce, elle baisa Tristan sur la bouche et soupira : -parce que ni vous sans moi, ni moi sans vous !” (p.309) Ce passage parle du
Selon moi, l’auteur a fait un très bon choix. Il démontre l’incapacité de se séparer d’une personne, et nous attire à vouloir savoir ce grand amour. Le titre a été mentionné deux fois par Iseut à son amoureux: la première fois quand ils allaient se séparer et peut être ne plus jamais se revoir; la deuxième fois quand Iseut trouve Tristan mort et meurt auprès de lui. Dans les deux fois j’ai ressenti une forte sensation comme si j’avais résolu un grand mystère. J’ai découvert ce que le titre signifiait, ce qu’il essayait de me dire dès la première fois que je l’ai lu, que l’amour n’est pas qu’un mot ou un sentiment. L’amour c’est la beauté, l’espoir, la joie et, le plus important, deux âmes qui sont incomplètes l’une sans l’autre. Avec seulement une petite phrase, l’auteur a pu me décrire la profondeur du mot amour. Ceci est la raison pourquoi ce roman m’a vraiment touché. Maintenant, je comprend la pertinence d’un titre.
RÉSUMÉ:
Êtes-vous prêts à découvrir une histoire excitante d’amour, de mort et de peine? Si oui, donc vous avez le bon roman! C’est l’histoire d’un garçon, au nom de “Tristan”, qui a perdu ses parents dès sa naissance. Il se fut élevé par un vieil écuyer qui s’appelait “Gorneval”. À 15 ans, ce dernier sentit sa mort approcher et demanda à Tristan d’aller vivre avec son oncle, le roi “Mark de Cornouaille”. Une fois arrivé, il démontra son courage et devint un chevalier d’honneur. Mais ce n’est pas tout. Après un certain temp, il décida de faire marier son oncle. Il parcouru la route jusqu’à Irlande pour trouver la jeune fille, Iseut, avec les cheveux dorés, qui a sauvée sa vie après une grande blessure. Après un autre acte courageux, Tristan réussi à convaincre le père de la jeune à lui marier à son oncle. Pendant leur trajet, les deux jeunes burent une potion d’amour par accident. Ils n’étaient pas heureux de ce qui s’était passé, mais leur plaisir était plus grand que tout, donc ils firent l’amour sans un moment d’hésitation. Après le mariage du roi Mark et Iseut, qui était la plus belle fille dans tout le royaume, celle-ci et Tristan ne purent pas garder leur distance. Ils ne supportaient pas la trahison et l’infidélité, mais c’est ce que leurs corps voulaient et ils ne pouvaient pas le contrôler. Quand un jour… mais attendez si je vous raconte toute l’histoire, vous n’aurez plus besoin de la lire. Donc, si vous aimeriez savoir les événements excitants qui se dérouleront, et les moments bouleversants dans ce livre merveilleux … vaut mieux commencer à lire!
LA STRUCTURE DU RÉCIT:
La structure du récit est une structure intéressante et originale parce que celui-ci commence par un narrateur participant et se transforme en narrateur omniscient. Il nous parle dans les deux premières pages du royaume et de son peuple et finit par dire: “C’est un peu de cette manière que mon histoire commence. Une belle histoire d’amour et de mort. Vous plairait-il que je vous la conte? La voici :” Après le narrateur devient omniscient jusqu’aux dernières phrases: “ Ici finit le roman de Tristan et Iseut. À tous les amoureux, fous de désir et de passion, le conteur vous dit salut!” Il nous laisse dans le doute. On se questionne: “Qui pourrait être ce conteur mystérieux?” Pourrait-il être Brangien, la servante fidèle ou bien son mari? Car ceux-ci furent les seuls survivants de l’histoire. Mais ça pourrait être quelqu’un d’autre, ceci restera une grande cachotterie. C’est ce que j’ai beaucoup aimé, car c’est le premier roman que je lis qui a une structure original comme cela! Pourtant il n’y a aucun retour en arrière, c’est un peu dommage cela aurait rendu le roman en peu plus intéressant. C’est pourquoi j’ai trouvé cette structure excitante et formidable.
STRATÉGIES DE LECTURE:
Juger et évaluer: “Elle manda donc en grand secret deux écorcheurs, des truands de la pire espèce et de la même farine, qui avaient la réputation d’être capables d’égorger père et mère pour quelques pièces d’or.[…] Ils devaient accompagner Brangien dans la forêt et, là , ils la perceraient de leurs épieux.” (p.105) J’ai jugé Iseut d’avoir envoyé des gens pour tuer Brangien, qui était comme sa deuxième soeur puisqu’elle
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