La défense de la mangrove contre les fermes de crevettes

...

Ce qui m’a frappé dans ce chapitre c’est le constat de l’influence des grandes instances tel que L’OMC qui, forcément, ont plus de pouvoir que les associations locales par leur versement d’argent. Ces multinationales contrôle le marché de la crevette et leur but est le profit. En effet on s’aperçoit que contrer celles ci est quasi impossible. Les entreprises ont la main, le fait qu’elle détruise

De plus la preuve d’une alternative par des élevages de palourdes en vasière prouve que les solutions existent et marchent comme l’exemple le montre de la Malaisie.

Ce qui m’a agacé dans ce texte c’est l’existence de projets tel que celui du projet du WWF en Inde qui prétend agir pour les locaux, pour l’environnement mais qui en réalité ne connaît pas la situation sur le terrain et n’agit que par profit derrière une appellation de projets « éco efficaces ».

De plus les entreprises qui utilisent ces terres et qui une fois épuisé s’en vont en exploiter d’autres fait prendre conscience de l’immoralité de celles ci puisque c’est l’éthique qui est remise en cause.

Encore une fois l’auteur marque l’opposition Nord/Sud dans son argumentaire alors que celle ci est dépassée puisqu’aujourd’hui les relations internationales, le développement des pays est très complexe et généraliser des phénomène à cette scission n’est géographiquement parlant que peu pertinent .

On voit bien la nécessité de détenir les informations réelles, sur le terrain, des enjeux pour pouvoir mettre des système utiles en place et non faire semblant comme c’est le cas des défenseurs américains qui se contredisent dans ces luttes environnementale en incitant l’élevage d’un coté et en le boycottant de l’autre.

L’exemple qui m’a le plus touché est la mort de ces 9 pêcheurs en équateur dans l’estuaire. On voit qu’il se créée des conflits sociaux entre ces population locales et les industriels qui travaillent sur place et que ceux ci sont parfois violents et cruels. Ce sont des affrontements physique qui se sont développés. Ainsi certains pêcheurs avident de justice, tente de l’imposer eux même en démantelant des élevage pour protester et annoncer leurs désaccords et basculent donc dans la délinquance.

Ce chapitre confirme que les ressources halieutiques sont de plus en plus dans nos assiettes mais de moins en moins dans les mers et océans de la planète.

Après la seconde guerre mondiale des techniques de pêche se sont multipliées (par exemple on pêche aujourd’hui de plus en plus profond) ce qui a permit de pêcher plus mais pas de pêcher mieux. On sait par ailleurs que le renouvellement des stocks des ressources halieutiques qui se trouvent très profond dans l’océan se renouvelle bien moins vite.

En effet 60% de ce qui remonte des filets des crevettes ne sont pas des crevettes, ainsi les océans se vident petit à petit.

L’aquaculture tente ainsi de pallier le problème par des bassins d’élevage mais des problème écologique économique et social sont au rendez vous et notamment le problème de la mangrove. De plus ces élevages sont souvent nourrit par des poissons naturels transformés en farine de poisson.

En outre on peut affirmer que la mangrove est un écosysteme riche en biodiversité fragilisé par des élevages de plus en plus nombreux de crevettes. C’est un déséquilibre écologique qui se créée par les industriels, la nature est menacée et donc ces populations qui dépendent de cette ressource.