Economie politique des médias.

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2e axe critique plutôt dans la tangente marxiste et néomarxiste :

Il s’intéresse à la structure de propriété des médias et au contenu véhiculé par ces mêmes médias. Les médias sont le plus souvent et ont pour propriétaire des entreprises qui ont une finalité de profits, et de développement économique. Les auteurs défendent le et favorisent la diffusion d’une idéologie qui défend le capitalisme et les grandes entreprises.

Cette eco de la com se dvlpe entre 1950 et 1970 et s’appuie sur une variété de l’étude éco.

2 niveaux d’économie des médias:

- Macroéconomique : économie des médias s’intéressent à la prod et allocation optimale des activités médiatiques d’une entreprise dans un obj de maximisation du bien-être de la population.

- microéconomique : il s’intéresse au comportement et au fonctionnement des entreprises médiatiques sur le marché.

Sciences de l’info et com ont négligé l’économie des médias pour privilégier les effets de l’économie des médias.

Science éco ont aussi négligé et ne l’ont pas considéré le secteur média comme un secteur qui devait bénef d’une analyse éco.

Economistes dans les années 50 qui proposent les 1eres contrib à l’éco des médias.

1ere etude concerne le marché de la presse. Et en 1960, travaux de recherche sur le role de la TV. Par exemple ; COASE, LEVIN, STEINER.

En 1960,70 chercheurs en com s’intéressent à la dynamique des médias et favorisent l’approche d’une économie politique. Leurs travaux s’intéressent à la structure des pouvoirs des médias. Auteurs : Dallas SMYTHE, Herbert SHILLER, Armand MATTELARE.

1978 : 1er ouvrage sur l’analyse économique de l’industrie des médias, Nadine TOUSSAINT DESMOULINS.

1990 : 2 new pb :

- Internationalisation des médias : groupes internationaux des médias.

- encourager le dvlpmt de recherche autour de la vie médiatique avec des questions autour de l’impérialisme, notamment les médias américains (CNN).

Tradition axe buraliste :

- théorique : né à l’initiative d’économiste qui s’intéressent aux choix et aux des décisions des producteurs et consommateurs des biens et services de com

- appliqué : issue des sciences de management et qui s’intéressent à la gestion des entreprises de com.

Pour ces 2 traditions, les médias sont des acteurs éco qui opèrent sur des marchés. Les entreprises médiatiques produisent des contenus à destination des consommateurs et publicitaires qui veulent cibler les audiences.

Tradition 2e axe critique :

- Critique :

Pour cette tradition, les médias ne sont pas seulement des acteurs éco mais participent également à la vie démocratique et culturelle de la cité. Elle prend en compte les effets économique socio culturelle des systèmes médiatiques. Elle est influencée par des intérêts économiques et les revenus des médias. Elle émerge plus des travaux de chercheurs issue de l’éco politique, des sciences de l’info et com. Elles s’intéressent aux pb de concentration et au monopole des effets culturels.

Le marché est un système de contrôle et non pas un moteur de liberté, pour cette tradition critique.

Dimension critique dans l’industrie de recherche sociale de franckfort par Théodore ADORNO, Yurgen ABERMAS, SMITHE, SHILLER.

Les médias sont avant tout des industries et des orga commerciale qui produisent et distribuent des commodities (=Terme anglais pour désigner les biens de consommation et les matières premières telles que l'or, l'argent et d'autres métaux précieux ainsi que le cuivre, le café, les noix de soja etc.) pour ces auteurs.

Yurgen ABERMAS a contribué au dvlpt de la trad critique de l’éco des médias avec ouvrage « l’espace public » en 1988. Sa théorie est que le 18e s a vu l’émergence d’un espace public c a d une new bourgeoisie est apparut qui s’est engagé dans une discussion critique dans des lieux comme les cafés, places, les journaux, ect. Progressivement la com en face à face, est complété par la com médiatisé (médias prennent le relais de la sphère public). Elle va permettre l’émergence de l’opinion publique qui apparait dans les médias et qui devient essentielle au fonctionnement d’une vie démocratique basé sur le système médiatique.

Cette espace publique va être corrompue par des forces qui ont permis son émergence, à savoir le pouvoir.

La sphère publique d’ADERMAS représente un système de com idéale ouvert et accessible à tous.

Argument centrale : mode de financement a des conséquences sur le type et la diversité des contenus proposés par les médias.

L’éco politique critique place au 1er plan de son approche la distribution inégale du pouvoir dans la société et essaye de comprendre comment les inégalités sont soutenues et reproduites.

Les travaux de Karl Marx ont une influence sur le pouvoir et la domination critique du pouvoir des médias.

Economie critique se demande comment fonctionne l’industrie des médias et de la com ? Qui sont les propriétaires des médias ? Comment le rôle de l’état influence le comportement des entreprises médiatiques ? Comment sont organisées les relations de travail dans les entreprises médiatiques ? Quels sont les liens entre les contenus des médias et la structure plus large de la société ?

CONCLUSION :

Ces 3 traditions sont complémentaires et développe des objects d’études communs :

- étude sur les marchés et l’industrie des médias.

- étude sur les entreprises médiatiques.

- étude sur les effets des industries médiatiques.

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