Cas moilot
Par Plum05 • 18 Septembre 2017 • 986 Mots (4 Pages) • 663 Vues
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De plus, le PDG suit de très près les finances de l’entreprise malgré l’instauration d’une Direction Financière dès l’année 2000. Les investissements sont nombreux et tendent principalement au développement de la branche PRO. Le siège es transféré afin d’allouer une place plus importante au secteur PRO, et ainsi améliorer sa production, qui se vit saturée et entraînant des pertes de marchés.
Malgré le renouvellement de deux machines du secteur PART, nous pouvons notifier que l’investissement en PRO est quasiment 4 fois supérieur à ceux du MAG et du PART réunis.
Ces actions permettent d’obtenir un bénéfice triplé, concentré sur le secteur PRO, alors que les deux autres secteurs stagnent. Ceci étant sûrement lié aux manques d’investissements de moyens et financiers.
Concernant l’aspect social, les secteurs MAG et PART sont composés de mains d’œuvres étrangères, dont l’absence de qualifications ne constitue pas forcément un handicap. Le personnel est systématiquement sélectionné au bénéfice du secteur PRO. Les réunions du Comité d’Entreprise suscitent peu d’intérêt, ainsi la pression exercée sur la Direction et le Directeur Général s’intensifie.
En effet, à la suite de remous dus aux risques d’accidents de travail (dont les taux est sensiblement élevé), les réclamations concernant la qualité de vie et la sécurité au sein de l’entreprise se multiplient.
Deux représentations syndicales distinctes sont présentes, la C.G.T. et la C.F.D.T.
La C.F.D.T. se focalise sur les travailleurs immigrés et les personnels sans qualifications, situés au sein la structure en banlieue. Elle dispose notamment d’une forte influence parmi les travailleurs immigrés et milite aussi pour l’augmentation des bas salaires. Elle se soucie moins des salariés qualifiés, peut-être moins plaignants.
Nous pouvons ainsi remarquer un large fossé entre la structure située à Paris, regroupant la Direction, et celle située en banlieue, regroupant quant à elle, les services à vocations techniques. L’écart social se voyant donc intensifié et omniprésent.
Après analyse des sous-systèmes de l’entreprise ainsi que de son évolution constante, nous remarquons donc une augmentation extrêmement dynamique du secteur PRO. Contrairement aux secteurs MAG et PART qui, quant à eux, stagnent depuis 2003. Le secteur PRO rassemble à lui seul la majorité des bénéfices de l’entreprise, et aussi des investissements. Il serait peut-être préférable d’injecter des investissements dans ces secteurs moins performants, ou au contraire les supprimer, à cause de leur faible productivité et rentabilité. Une étude des voies de sorties sera donc nécessaire afin de déterminer quelles seront les meilleurs directives à prendre concernant l’entreprise RANGECO.
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