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Religion et bonheur, le passage de l'un à l'autre?

Par   •  7 Octobre 2018  •  876 Mots (4 Pages)  •  506 Vues

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serons jamais que par des objets conditionnés et impermanents, échappant par nature à toute volonté, apparaissant et disparaissant sans cesse.

Par contre, dans l’Hindouisme, qui est l’une des plus vielles religions du monde encore pratiquées, on considère qu’il existe quatre buts à l’existance. Les désirs humains sont naturels, chacun de ces buts sert à parfectionner la connaissance de l’homme.

Le premier but et le plus particulié, est le kâma ou le désir: plus particulièrement le désir et le plaisir amoureux. Les kâmasutra exposent les moyens d’exalter les sens et d’épanouir la vie de couple, l’érotisme, « sans aucun tabou de principe » où l’homme et la femme s’unissent et recréent l’unité divine. Le plaisir doit être dirigé dans le but de la connaissance et ne doit pas devenir un mode de vie qui conduirait à accomplir des actes immoraux. Donc contrairement aux autres religions, l’hindouisme voit le plaisir sexuelle comme une aquesition de connaissance, et non un pêchet.

Chez les Juifs aussi nous retrouvons beaucoup de textes sur le plaisir et la sexualité. Le rabbin (personne étudiant le Torah, le permettant de prendre des decisions en matière de Loi juive) Joseph Sitruk dans son livre Judaïsme et Sexualité, explique le traité de Nidda (fait partie du Talmud, qui est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique) souligne que « l’éveil de la libido chez l’homme et la feme n’intervient pas de la même façon. », « La halakha (guide official de la vie religieuse et civile du judaïsme) en tient compte et dit que l’époux doit éviter toute precipitation dans la concrétisation du rapport et faire en sorte que sa femme arrive à un épanuissement physique. » . Cette attention particulière portée vers le plaisir féminin n’est pas sans sans sous-entendu : des interprétations juive traditionnelle dans le Talmud cite qu’en effet, si la jouissance feminine vient avant celui de l’homme alors l’enfant conçu sera un garcon.

Chez les chrétiens, le plaisir est vue comme la pire des choses, le sexe est seulement accepté chez le couple marié dans le bute de concevoire un enfant. Cette façon penser date du IVieme siècle est du aux travaux de saint Augustin.

Dans toutes ces religions, chacune traduit de sa façon la definition du Bonheur, et des compétences pour l’avoir, mais on remarque quand même qu’il y a quelques interprétations similaire.

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