Ces textes sur la guerre, dont l’un date de 1759 et et l’autre de 1955, sont de genre et de situation d’énonciation différents.

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philosophie qui fut développé par Leibniz, et qui part du principe que Dieux est un être parfait, et que le monde qu’il a crée est forcément moins bien que lui, mais en même temps au meilleur de ce qui a pu être fait. On retrouve donc dans le texte de Candide, le registre satirique qui critique cette philosophie. Ainsi, « une harmonie comme il n’y en eu jamais en enfer », « les canons renversèrent a peu près six mille hommes », « la mousqueterie ôta du meilleur des monde environ neuf à dix coquins qui en infectaient la surface », « une trentaine de mille âmes » nous montre que Voltaire a voulu ridiculiser cette philosophie en montrant la boucherie qui se déroule dans le « meilleur des mondes » et que provoque les créations de Dieu, Les hommes. On peut d’ailleurs remarquer que les principaux procédés stylistique et rhétorique du registre satirique, comme un lexique et des métaphores dévalorisantes et des figures de l’exagération comme les comparaisons insolites, sont présent dans le texte.

Registre polémique :

Texte B :

Registre Oratoire :

Registre polémique :

Registre ironique :

Écriture d’invention :

Quel est le genre de texte à produire ? Une lettre

Quelle est la situation d’énonciation ?

Qui parle à qui ? Candide écrit à son précepteur Pangloss

Où ? En route vers la Hollande

Quand ? Après avoir quitté le champ de bataille qui a opposé les Bulgares et les Abares

Quel est le registre ? Le registre oratoire

Quel est le thème ? La violence et les conséquences funestes de la guerre entre les Bulgares et les Abares

1. Lieu et date de l’écriture de la lettre dans le coin supérieur droit

2. Introduction : Explication d’où vient Candide et de l’idée directrice de la lettre

3. Le champ de bataille et les soldats : impressions, descriptions

4. Passage dans les villages : impressions, description

5. Souvenir enfance, impressions que Candide a eu sur la guerre : morale

6. Fuite vers la Hollande ou il espère trouver un monde meilleur

15 Juin 1757

Sur les routes de Hollande

Mon cher Pangloss,

c‘est meurtri par ce dont je fut témoin ces derniers jours que je t’écris cette lettre.

Je reviens de Bulgarie, où j’avais été enrôlé de force dans l’armée. Là-bas l’été chaud et agréable avait fait place en quelques jours à la guerre avec leur voisin les Abares.

En une petite semaine à peine, les deux camps avait rassemblé des milliers d’hommes. À l’approche du champ de bataille on entendait de plus en plus fort le battement régulier des soldats marchant les uns contre les autres. Le sol lui même en tremblait. Terrorisé par cette guerre, je tentais désespérément de m’enfuir de ce bataillon qui se dirigeait en enfer.Dieux en soit loué, je réussi me cacher dans la foret voisine du champ de bataille, grâce à la mégarde de l’un des officiers. A l’abri dans mon refuge, j’observais le combat. La scène ordonnée trop ordonnée terrifaient. De chaque côté d’un champ tout juste vert par la fin du printemps, se trouvaient des milliers de Bulgares et d’Abares ne cherchant qu’à s’entretuer.Un silence absolue couru dans le rangs, jusqu’à ce que leur roi respectif de chaque armée clame leur cri de guerre. A ce moment là, Une multitude d’âmes se fracassèrent les unes contre les autres. Des giclées de sang jaillirent de tout côté. Les hommes tombaient comme des cartes dans lequel une main géante