Les droits de l’enfant dans les maisons de redressement.

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2.2 doc2

Le document 2 est un article de presse de type informatif. Cet article a été écrit par Jacques Bourquin qui est président de l’association pour l’histoire de l’éducation et qui est aussi corédacteur en chef de la revue le temps de l’histoire au mois de juin 2002 dans le journal Le Monde diplomatique.

2.3 doc3

Le document trois est un article de presse de type informatif paru dans le n°2959 de Télérama. C’est un article écrit par Madame Bouchez Emmanuelle au mois de septembre 2006 afin d’annoncer la diffusion du téléfilm « Les Vauriens »inspiré de la fuite des pensionnaires de Belle-ile-en-Mer en août 1934 sur la chaine France

3. Sélection d’idées dans un document :

D’après le document deux depuis XIXe siècle les lois ont oscillé entre peine et éducation. En présentant tour à tour les jeunes dans un rôle de délinquant coupable et responsable devant la lois puis comme des victimes qu’ils fallait protéger et aider à s’insérer dans la société.

4. Comparaison de documents :

A travers les trois documents fournit nous pouvons retrouvez le thème du droit des enfants dans notre société. Les documents nous présent les enfants comme des victimes du système éducatif en nous relatant la « chasse à l’enfant » organisé suite à l’évasion des pensionnaires de la maison de redressement de Belle-Île-en-Mer en août 1934. Dans le document un on peut relever que les thermes employés sont très fort voir violent comme « brisées les dents » « étendu sur le ciment » « comme une bête traquée » nous présentant la violence non seulement des maisons de redressement mais aussi de la poursuite des pensionnaires évadés cette nuit là. Le document trois lui, nous présente un téléfilm relatant le passé de pensionnaire du père du personnage principal au pensionnat de Belle-Île un passé qualifié de « douloureuse histoire » ligne 4 et ligne 7 de « passé peu glorieux ». Le document deux quant à lui résume la façon dont à évolué le sujet à travers les moeurs et à travers le temps et nous révèle que en politique comme dans l’éducation parentale les enfants on tour à tour été considéré comme des criminelles puis comme des victimes.