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Kant, la philosophie utilitariste

Par   •  28 Octobre 2018  •  1 525 Mots (7 Pages)  •  532 Vues

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Et s’agit-il d’un utilitarisme de la réglé ou de l’utilitarisme de l’acte ?

Si on décide d’aller parler à la patronne, on fait preuve de l’utilitarisme de l’acte. Car elle procure un plus grand malheur si on respectait la règle.

Grâce à ses questions, on peut réfléchir à l’action qu’on va poser. Chaque action amenée du positif et du négatif. L’homme doit réfléchir sur l’action qu’il fait par rapport aux gens qui l’entourent.

Troisièmement, il existe plusieurs critiques de la philosophie de l’utilitarisme. Les anciens critiquent cette philosophie, car elle ne distingue pas assez le bonheur et le plaisir. Pour les anciens, il y a une grande différence entre les deux. Soit qu’on peut sentir le malheur en faisant un acte de plaisir. Par exemple : Quelqu’un qui se drogue pour oublier ses malheurs. La drogue est un acte de plaisir qui enlève une sensation de malheur. Ils font aussi la critique du fait que l’utilitarisme n’explique pas l’universalité de la loi. Car la loi morale doit être universelle pour tous. Alors que l’utilitarisme n’est pas universel. Les anciens trouvent que l’utilitarisme donne un sentiment de sympathie chez l’homme. Alors que la sympathie peut amener l’homme à faire des actions de façon à faire le bien et à nous abstenir au mal. L’homme va essayer le plus possible de faire le bien. Par contre, ses expériences de vie doivent être positives et négatives pour avoir des expériences de vie. C’est à — dire que l’homme vit des moments de bonheur et de malheur cela construit la personnalité de l’homme et donne de l’expérience.

Pour finir, l’utilitarisme est donc un désir de liberté. Cette théorie est liée avec libéralisme de l’acte. C’est-à-dire que l’homme cherche le bonheur par l’action. « La logique utilitariste n’a rien de bien compliqué. Elle inspire beaucoup de nos choix d’action dans des contextes familiers. » C’est-à-dire que tous les hommes peuvent utiliser cette philosophie de pensée. Pour ce qu’est de la question : Est-ce que l’utilitarisme est-il meilleur que la théorie déontologique pour trouver une solution face à un problème éthique ? La réponse sera que l’utilitarisme est le meilleur pour trouver une solution face à un problème éthique. Car l’homme réfléchit sur le bonheur qui apporte la solution. C’est-à-dire qu’elle permet à tous les êtres humains de ressentir un certain bonheur.

Annexe

Par exemple voici ce qu’il s’est passé de mon milieu de travail. Mon milieu de travail est dans un milieu communautaire à Montréal Nord. Mon travail s’est aidé des familles qui ont besoin d’aide au niveau de leurs relations avec leur famille, au niveau économique et autres. Nous sommes là aussi pour les sortir de leur isolement. Les parents bénifis des ressources pour venir en aider. Ils peuvent avec des rencontres individuelles et en groupe. Lors d’une sortie avec les familles. Nous étions en train de marcher dans le métro avec des familles de l’organisme pour aller au centre-ville. Une des éducatrices parle avec une mère qui pense que son enfant est atteint d’un trouble du spectre de l’autisme (TSA). Son fils est en processus d’avoir une évaluation par un psychologue. (Nous, l’organisme réfère la mère à une ressource [un psychologue] pour que l’enfant soit évalué. Nous pouvons donner nos observations, mais nous n’avons pas le droit de diagnostiquer.) L’éducatrice lui dit : > la mère a commencé à pleurer et elle lui pose des questions sur l’autisme. Car la mère a un doute sur le développement de son fils. Mais elle ne connaît rien de l’autisme. Elle vient à l’organisme pour trouver des moyens à mieux comprendre le comportement de son fils. Elle souhaite avoir une évaluation de son fils par un spécialiste.

Moi, j’entends la conversation entre les deux femmes, je ne me sens pas bien. Car je sais qu’on n’a pas le droit de diagnostiquer une personne. De plus, je trouve personnellement que ce n’est pas le bon endroit ni le bon moment d’en parler avec la mère. Car nous sommes en sortie avec des familles de l’organisme communautaire et que tout le monde peut entendre la conversation. Durant la journée, la mère se questionne beaucoup sur son fils et elle ne participe pas aux activités de la sortie. Pour ma part, je me questionne sur l’éthique et le professionnalisme de l’éducatrice qui posent un diagnostic sur un jeune et la conversation avec la mère. Si je vais en discuter avec ma patronne de la situation et que je sais qu’il va avoir un grand risque d’une sanction pour l’éducatrice.

Je me demande ce que je devais faire ?

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