Psy cognitive

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Attention exogène : attention captée par un stimulus extérieur. L’environnement extérieur initie l’alerte et la mobilisation des facultés cognitives.

- Les différentes mémoires

- Mémoire à court terme

La seule mémoire que l’on connaît aujourd’hui c’est la mémoire de travail. C’est une mémoire flash.

C’est un système à capacité limitée. C’est le maintien temporaire et manipulation de l’information pensant la réalisation de tâches cognitives complexes pour effectuer une action dirigée vers un but.

Cette méthode de travail est très sensible aux atteintes cérébrales, notamment les maladies dégénératives.

- Mémoire a long terme

Il y a deux grandes sous catégories, la mémoire déclarative (appelé aussi mémoire consciente ou explicite) : récupération volontaire et consciente

Qui se différencie de la mémoire dite non-déclarative (appelé aussi inconsciente ou implicite) : système impliqué dans le souvenir d’information spécifiques, vécus par le sujet, situées dans un contexte spatio-temporel particulier. C’est un rappel conscient via une réinstallation du contexte d’acquisition soit fourni par l’environnement, soit activée à l’initiative du sujet.

- Mémoire déclarative

Elle se subdivise elle même en deux partie : la mémoire épisodique (qui constitue la mémoire des évènement) et la mémoire sémantique (celle des faits).

Ces deux mémoires constituent pour un individu la mémoire autobiographique.

- Mémoire épisodique

C’est la mémoire des évènements. C’est une mémoire contextuelle de nature autobiographique avec une marque spatial temporel forte (ex : souvenir, où, avec qui ? comment ?)

3.2.2 Mémoire sémantique

C’est la mémoire des connaissances définitives. (ex : on est pas capable de dire quel jour on a apprit les jours de la semaine).

- La mémoire non-déclarative

Se divise en 3 parties : procédurale, amorçage, conditionnement.

3.2.3 Mémoire procédurale

Ce sont des habilités motrices ou savoir faire, que l’on va être en capacité de réaliser en automatique ou sans savoir vraiment comment on fait. (ex : vélo, ski, conduire)

- Cognition sociale

C’est la partie de la psychologie cognitive qui va s’intéresser aux mécanismes qui fond qu’on va entrer en interaction les uns avec les autres.

« Opération mentales sous-tendant les interactions sociales, notamment la capacité à percevoir les intentions et dispositions d’autrui » (Brothers, 1990)

« Mais comporte aussi d’autres compétences comme la perception social, les apprentissages sociaux ou la dynamique relationnelle » (Green et al ; 2008)

La cognition social, c’est la synthèse des connaissances que l’on connaît actuellement avec la psychologie sociale, psychologie du développement, neurosciences cognitives, la psychologie comparative et l’intelligence artificielle.

Les 4 dimensions impliquées dans la cognition sociale (Green, 2008)

- Perception des visages, des émotions

C’est la lecture ou reconnaissance des émotions d’autrui, expressions du visage, gestes et attitudes, prosodies (modulation et rythme de la voie). Le poids de la communication verbal est de 20% et le reste 80% est ce qu’ils nous montrent gestuellement.

6 expressions faciale reconnue par des chercheurs, colère, étonnement, dégout, la joie, la tristesse, la peur.

- Perception sociale

Compétence plus générales « la vraie vie »

Compréhension des règles d’une situation sociale, raisonnement social. Construction de réponses adaptées. Mise en place des différentes actions appropriées.

- Théorie de l’esprit

C’est la capacité d’un individu à se représenter les états mentaux d’autrui et de faire des inférences (idée) correctes à propos des intentions et des croyances d’autrui.

Ex : jeanne pense qu’Eric pense que...)

Cela sous-tend des capacités d’empathie et faire référence à notre capacité à concevoir et partager nos sentiments et ceux des autres.

Cela permet de donner un sens aux comportements sociaux et de les prévoir, de donner un sens à la communication et de comprendre les intentions communicatives de l’autre.

Elle se constitue avec le temps et s’enrichie avec le temps.

- Mode d’attribution

Empathie : Ce qui nous permet de nous représenter l’état émotionnel et affectif d’une autre personne.

A différencier de la compassion : c’est souffrir avec l’autre.

5. Référence